JACOB Joseph [JACOB Henri, Joseph]. Signe Henri Renaut

Par René Lemarquis, Jean Maitron, Claude Pennetier

Né le 19 mars 1896 à Troyes (Aube), mort le 19 juillet 1976 à Vincelles (Yonne) ; ouvrier tisseur, pensionné de guerre à 65 % ; militant communiste et syndicaliste, secrétaire général de la Fédération du Textile (1924-1925), membre du Comité directeur du Parti communiste et du comité central (1922-1927), délégué au comité exécutif de l’Internationale communiste en 1926, secrétaire de la Région du Nord (1927-1929), en rupture avec le PC et la CGTU en 1932 ; secrétariat général des Amis du Rappel ; soutien des partis collaborationnistes pendant l’occupation.

Fils d’un tisseur et d’une fileuse, Henri Jacob , dit Joseph, entra à l’âge de douze ans comme ouvrier bonnetier dans une usine de Troyes. Il adhéra aux Jeunesses socialistes alors qu’il n’avait encore que quatorze ans et, à la veille de la Grande Guerre, il devenait secrétaire des JS de l’Aube.

À la fin de la guerre, où il fut blessé en septembre 1918, mutilé à 65 % et pensionné un balle dans l’épaule qui avait des conséquences sur le fonctionnement du bras et des doigts), il appelait, dans l’organe de la Fédération socialiste de l’Aube, La Défense des Travailleurs du 15 mars 1919, les jeunes à reconstruire leur organisation. Il prit la parole au meeting du 1er Mai 1919 au nom des JS. Au Ier congrès d’après-guerre de la Fédération socialiste qui se tint le 19 avril 1919, il assura le secrétariat et, à l’issue du congrès du 7 septembre, il devenait secrétaire adjoint. En février 1920, il fut chargé de la propagande socialiste et, en mai de la même année, il était secrétaire du syndicat du Textile de Troyes qui le délégua au congrès national de la CGT à Orléans (27 septembre-2 octobre 1920).

Signataire de la motion du Comité pour la reconstruction de l’Internationale, il participa au congrès fédéral du 30 janvier 1921 qui, après le congrès de Tours de décembre, le fit entrer à la commission exécutive du jeune PC de l’Aube. Le 24 mai 1921, il était élu secrétaire adjoint de l’ARAC et délégué au congrès national. Mais c’est surtout comme syndicaliste qu’il milita durant cette période. Il eut un rôle dirigeant dans la grève du textile de février 1921, critiqua le secrétaire Thibault au congrès de l’Union des syndicats ouvriers de l’Aube du 8 mai 1921 et participa, avec Charles Alfred, à la formation des comités syndicalistes révolutionnaires de la région troyenne.

En 1921, Joseph Jacob fut trésorier du comité troyen d’assistance au peuple russe et il accompagna à Berlin un convoi de vivres pour les victimes de la famine en Russie. En septembre, les délégués russes, empêchés de se rendre au congrès international des ouvriers de l’industrie du Textile, le désignèrent comme leur représentant mais la validité de son mandat ne fut pas reconnue et il ne put participer aux travaux du congrès. Le 23 septembre, il présentait, avec Drifford, la motion appelant à la grève générale du Textile de Troyes qui durera du 26 septembre au 7 novembre. Il prit la parole aux nombreuses assemblées générales de grève avec Charles Alfred, Grosdemange et Vernochet et anima un Comité départemental de grève qui s’opposa souvent à l’UD-CGT de Thibault et au syndicat textile de Romilly que dirigeait Mahu. Il fut inculpé le 18 décembre de séquestration et de violation de domicile par le patron textile Henri Recoing ; défendu par René Plard, il fut condamné à six mois de prison avec sursis et 200 francs d’amende. Jacob fut délégué, en décembre 1921, au congrès national de la Grange-aux-Belles. Après la scission syndicale, il fut désigné le 16 février 1922 comme secrétaire de la Fédération nationale unitaire du Textile et remplacé à Troyes par Léon Dauthel au syndicat textile.

Son activité se situa alors au plan national. Le 23 mai 1922, il était élu membre de la CE du Comité confédéral de la CGTU dont il fut l’un des délégués au congrès de l’ISR à Moscou. Il représenta encore la Confédération en décembre 1922, lors de la fondation du Comité d’action contre l’impérialisme et la guerre. Il intervint au congrès national du PC en octobre 1922 sur la question syndicale et critiqua la motion présentée par le Comité directeur : « Le Parti ne doit pas gêner l’action des syndicats... Le Parti a le droit de s’intéresser aux questions économiques mais non de lancer des mots d’ordre comme le veut Manouilski... C’est l’affaire des syndicats de prendre la défense des 8 heures et des salaires. » Jacob fut élu au Comité directeur du Parti au titre du « Centre ».

En janvier 1923, de retour avec Pierre Semard de la Conférence internationale d’Essen tenue les 6-9 janvier, il fut arrêté en gare de Saint-Quentin et écroué à la Santé. Il fut défendu par Plard qui alla le voir en prison. Mis en liberté provisoire le 8 mai, il bénéficia d’un non-lieu en juin. En novembre de la même année, permanent syndical et secrétaire de la Fédération du Textile, il fut réélu à la CE de la CGTU et, en janvier 1924, au Comité directeur du Parti.

La Fédération du Textile, dont il était secrétaire avec Richetta et Herclet, groupait en 1923 quelque vingt-cinq syndicats et 22 000 adhérents environ (les syndicats chrétiens, au nombre de quinze, en ayant 10 000 -cf. F7/13823). En novembre 1923, Jacob prit part au IIe congrès de la CGTU à Bourges et les 5-7 décembre, il participa au IIe congrès de la Fédération du Textile qui vit la fusion avec le Vêtement. Au IIIe congrès du Textile tenu à Paris les 28-30 novembre 1926, Jacob présenta d’importants rapports, notamment sur l’unité syndicale et le front unique. Durant la période 1924-1926, il fut candidat communiste à différentes élections : municipales complémentaires au Pré-Saint-Gervais, octobre 1924 où, tête de liste, il fut battu par les socialistes ; cantonales du 2e secteur de Pantin en juin 1924 ; législatives complémentaires dans les Vosges en novembre 1926. Des missions, parfois dangereuses comme en Italie fasciste, lui furent confiées et son action fut internationale : il assista, par exemple, comme délégué de l’exécutif au congrès du PC autrichien en 1925. Il conservait par ailleurs des liaisons avec Troyes puisqu’il y prenait la parole au meeting du 15 juin 1926, avec Oudin, Cuny et René Plard avec titre de « secrétaire du CE de la IIIe Internationale ». Il avait été en effet promu membre du secrétariat du Présidium du Comintern en février-mars 1926. Son retour en France date du 2 août 1926. Il se rangeait alors sur les positions de Suzanne Girault et, les 28 et 29 octobre, devant le Bureau politique, il présentait ses thèses. Le 29, il déclarait notamment : « Je continue à penser que la politique de la majorité du CC du PC de l’URSS est fausse. » Le Bureau politique prit acte (Cahiers du Bolchevisme, n° 61, 27 novembre 1926). Au cours du Comité central des 1-3 septembre 1926, où l’on avait débattu de la question russe, Jacob s’était opposé à une résolution de Jacques Doriot condamnant l’opposition et Zinoviev.

Dans un article intitulé « Le Bloc oppositionnel et ses partisans en France » paru dans les Cahiers du Bolchevisme le 15 janvier 1927, Pierre Semard, secrétaire du Parti, attaqua Jacob, lui reprochant d’avoir soutenu l’opposition russe au VIe Exécutif en mars 1926 et d’avoir été à Lille au congrès du PC, juin 1926, « le porte-parole du bloc oppositionnel dans les coulisses du congrès ». Quant à Jacob, dans le même numéro des Cahiers, il répondit à Semard, lui reprochant de colporter des « ragots » mais il concluait toutefois : « L’Internationale a jugé au VIIe Exécutif. C’est bien. Pour mon compte, je m’incline. » Pour sa part, le Secrétariat mettait fin au débat : « Le Secrétariat du Parti juge inutile de répondre à la partie purement polémique et personnelle de l’article de notre camarade Jacob. Dans l’article leader du présent numéro des Cahiers, Semard lui répond au point de vue politique. »

Les désaccords cependant persistaient. Et une importante discussion allait se dérouler dans toute l’Internationale à propos de la nouvelle ligne dite « classe contre classe » à partir de l’été 1927, cette ligne entraînant des changements tactiques à l’occasion des élections. En janvier 1928, une délégation française se rendit à Berlin pour y rencontrer Manouilski, Kuusinen et Jules Humbert-Droz représentant l’Internationale. Jacob, qui était désormais un des responsables de la région du Nord (Nord, Pas-de-Calais, Somme) et qui faisait partie de la délégation française, s’y affirma pour les désistements au second tour des élections.

Par un brutal renversement d’alliance, Jacob rejoignit l’aile « droitière » de Jacques Doriot qui était en train de se constituer et parvint à entraîner derrière lui la quasi-totalité des délégués au congrès régional de 1928. Son éviction du Comité central, intervenue quelques mois plus tard, provoqua la réprobation ouverte d’une partie de la salle du congrès de Saint-Denis (avril 1929) au cours duquel il prit la parole comme délégué du Nord. Devenu « dangereux » pour certains dirigeants du CC, Joseph Jacob fit alors l’objet d’une exclusion « en douceur » du PC qui s’acheva par une « démission forcée » de ses fonctions de secrétaire régional du Nord et par son remplacement par un dirigeant plus orthodoxe, Florimond Bonte. Les circonstances de cette démission, en mai 1929, forment un curieux mélange de données idéologiques, de marchandages et d’accusations sordides. Elle fut en effet acquise après de longues tractations qui eurent lieu à Saint-Amand-les-Eaux entre Jacob et Cyprien Quinet, représentant la direction du Parti. En échange d’un retrait « sans tapage », c’est-à-dire, en fait sans rupture des dirigeants du Nord avec le CC, il aurait obtenu dans un premier temps une « situation avantageuse » au Havre. Puis vinrent des attaques personnelles dont la plus grave, selon les critères du CC, celle d’homosexualité. En quittant son poste, Jacob entraîna dans sa chute tous les doriotistes de la région du Nord dont Edgar Devernay, Sairaison et, temporairement, J. Hentgès. Il tenta alors, sans grand succès, de lancer une campagne à la base, destinée à lui permettre de reprendre en main la Région du Nord.

En avril 1930, Joseph Jacob fut placé à la direction du Territoire de Belfort (le rayon comptait alors trois cellules : 25 adhérents dans l’une, 12 au total dans les deux autres) et chargé également de reconstituer la 5e Union régionale CGTU (Doubs, Jura, Haute-Saône) en qualité de secrétaire, Paul Rassinier assurant la trésorerie. C’est alors que les désaccords déjà existants resurgirent au cours de la préparation des élections législatives de mai 1932. Bien que les candidatures de Schmitt dans la deuxième circonscription de Belfort et de Jacob dans la première aient été ratifiées le 30 janvier en présence de Maurice Thorez, elles furent rejetées par le BP, Jacob et ses camarades ayant pratiqué une politique d’alliance avec des ennemis politiques en participant à Belfort à un comité de libération Lucien Carré avec le Parti socialiste, la Ligue des droits de l’Homme, etc. Les deux militants s’insurgèrent contre cette décision et obtinrent l’appui du comité régional (unanimité moins deux voix) et du comité de rayon (unanimité). Leur exclusion ayant été prononcée, Jacob se présenta néanmoins aux élections s’opposant au candidat du parti, Armand Carré, père de Lucien Carré*, alors interné.

Les résultats furent les suivants au premier tour : Jacob, 564 voix dont 429 à Belfort ville (14 524 inscrits, 12 804 votants), Carré, 330 voix dont 120 à Belfort ville (en 1928, le parti avait obtenu au premier tour 1 484 voix).

Les deux candidats appliquant au second tour la tactique de non-désistement du parti subirent une perte importante : Jacob, 170 voix dont 120 à Belfort ville, Carré, 89 voix dont 39 à Belfort ville.

Les exclus tinrent alors une Conférence régionale à Belfort le 29 mai 1932 ; ils constituèrent un Parti communiste indépendant dont Paul Rassinier fut le secrétaire et Jacob le secrétaire adjoint et firent reparaître Le Travailleur le 18 juin (il avait cessé sa parution le 20 mai). Ce parti aurait compté 125 adhérents en novembre 1932 quand se réunit en congrès, le 20 de ce mois à Valentigney (Doubs), la Fédération communiste indépendante de l’Est dont L. Renard était le secrétaire général et Paul Rassinier un des dirigeants. Il est à noter que dans les comptes rendus de ce congrès, le nom de Jacob est ignoré ; celui-ci n’assistait peut-être pas au congrès et n’eut de toute façon, semble-t-il, aucune responsabilité dans la Fédération.

Pour ce qui est du Travailleur, Jacob en fut présenté comme le directeur politique dans le numéro 3 (18 juin 1932), puis plus modestement, comme gérant du journal du numéro 4 au numéro 20. Paul Rassinier reprit la gérance au numéro 21, daté du 22 octobre 1932. Son dernier article parut dans le n° 28, 10 décembre 1932.

Le 25 septembre 1932 s’était réuni le congrès de la 5e Union régionale unitaire en présence de 28 syndicats disposant de 48 mandats (cinq syndicats ne s’étaient pas fait représenter). Sur ces 48 mandats, 31 allèrent à la direction de la CGTU et 16 à Jacob et ses amis. Jacob, qui avait été écarté de ses fonctions de permanent, assura la vice-présidence du Comité intersyndical de Belfort et anima le comité de chômeurs avec Albert Déchelotte en mai 1933. En octobre 1933, il gagna son procès devant les prud’hommes contre ses anciens « employeurs » communistes qui lui devaient une partie de son salaire. Il devint alors directeur politique du journal Le Semeur que les communistes accusèrent d’être soutenu financièrement par René Plard*.

Au début de 1936, Jacob réapparaissait à Troyes auprès de René Plard qui était député depuis 1932 et maire depuis 1935. Il obtint un poste administratif de gardien à la mairie (1937-1942) avec son épouse, et assura le secrétariat général des Amis du Rappel ainsi que la rédaction en chef du journal Le Rappel de l’Est. Pressenti en 1936 pour se présenter aux législatives, il se récusa car ne voulant pas « que l’on puisse supposer qu’il est de retour à Troyes pour décrocher un siège de député ». Il fut cependant candidat « plardiste » aux cantonales d’octobre 1937 où il obtint 1 081 voix et fut devancé par le communiste Navoizat pour qui il se désista. En 1938, il était secrétaire du comité de Front populaire de Troyes et l’UL-CGT lui reprocha, lors des accords de Munich, de n’avoir pas convoqué ce comité.

En 1941, Jacob adhéra au RNP puis au PPF où il fut secrétaire adjoint fédéral et, en 1943 à Paris, journaliste au Cri du Peuple (où il signait Henri Renaut). Il tint régulièrement la rubrique « Le travail et les hommes », d’octobre 1942 à août 1944, quinze jours avant la disparition du journal. Domicilié dans le XVe arr. rue Henri Duchêne, il assurait aussi le secrétariat de l’Action sociale. Il fut condamné par la Cour de justice aux travaux forcés à vie et à la dégradation nationale en décembre 1945. En décembre 1953, il était secrétaire administratif du syndicat français du cinéma, de la radio et de la télévision puis vice-président de 1957 à 1958. Il finit sa vie dans l’Yonne à Vincelles. Marié, père de trois enfants (Jeanine, coiffeuse ; Roger, serrurier ; Madeleine) il s’occupait avec sa femme d’une petite fille, Josiane (fille de Roger) qui le voyait comme un grand-père aimant mais distant, introverti, ne parlant pas du passé.

Autodidacte, Joseph Jacob s’était formé par l’action syndicale et au contact d’un milieu socialiste guesdiste. Il resta traumatisé par sa rupture avec le Parti communiste et marqué par son soutien aux courants collaborationnistes. De taille moyenne (1,65 m), mince, il porta un temps la moustache (voir sa photographie dans l’Humanité du 31 janvier 1928) puis offrit un visage glabre, un peu couperosé qui lui donnait un air austère. Dans l’itinéraire complexe mais pas unique (voir par exemple les biographies d’Henri Barbé, Pierre Celor, François Chasseigne, Francis Desphélippon... sans compter les proches de Jacques Doriot et de Marcel Capron) qui conduisit Jacob du communisme à la collaboration, son séjour en URSS pendant les années 1925-1926 comme représentant du PCF auprès de l’IC, semble avoir joué un rôle important.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article87689, notice JACOB Joseph [JACOB Henri, Joseph]. Signe Henri Renaut par René Lemarquis, Jean Maitron, Claude Pennetier, version mise en ligne le 23 avril 2010, dernière modification le 5 mars 2022.

Par René Lemarquis, Jean Maitron, Claude Pennetier

SOURCES : Arch. Nat., F7/12893 ; F7/12952 ; F7/13033, rapport du 1er juin 1932 ; F7/13091 ; F7/13124 ; F7/13128, rapport du 11 avril 1932 ; F7/13130, rapport du 20 juin 1932 ; F7/13261 ; F7/13586, novembre 1923. — Arch. Dép. Nord, M 35/8, M 154/195 A-B-C. — Arch. Dép. Seine, versement 10451/76/1. — BMP, microfilms 32, 144, 150, 151, 209, 216, 258, 269 et 278. — Arch. Jean Maitron, fiche Jacob. — Arch. Ph. Robrieux. — La Défense des travailleurs puis Le Travailleur, mars 1919 novembre 1920. — La Dépêche de l’Aube, décembre 1920-1926, 1932-1933. — Le Travailleur, 1er octobre et 26 novembre 1932, 18 février 1933, 4 mars 1933. — Le Semeur, 12 avril 1930. — Le Semeur ouvrier, 9 juin 1932. — Le Semeur ouvrier et paysan, 6 mai 1933 et 4 novembre 1933 et jusqu’en 1935. — Le Rappel, 1936-1938. — La Dépêche, octobre 1945. — Les Cahiers du Bolchevisme, 27 novembre 1926, 15 janvier 1927. — La Révolution prolétarienne, 10 février 1935. — Cahiers d’histoire de l’Institut Maurice Thorez, n° 25-26 et n° 27, 1978. — Cri du Peuple, puis Cri du Peuple de Paris, 1942-1944. — Comptes rendus des congrès de la Fédération unitaire du Textile. — Branko Lazitch, Biographical dictionary of the Comintern, Stanford, 1973. — État civil de Troyes. — Renseignements fournis par Michel Dreyfus. — Notes Jacques Girault et de Y. Le Maner. — Témoignage de la petite-fille.

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