Secrétaire du syndicat unitaire de travailleurs de la pierre de Paris, Paul Armand déclara, à l’occasion des conflits qui éclatèrent à Paris en 1927 : « Je suis adversaire d’une grève générale car le récent mouvement des terrassiers du métro, quoi qu’on en dise, s’est terminé par un échec. Par contre, je suis partisan d’une grève perlée qui, plus que toute autre, porte atteinte au coffre-fort patronal. »
SOURCE : Arch. Nat. F7/13652, rapport du 13 décembre 1927.