Par Jacques Girault
Plusieurs Garnier militèrent à Toulon (Var).
Garnier était le trésorier de la section locale de la Ligue des droits de l’Homme en janvier 1922. Il ne fut pas réélu à cette responsabilité, le 13 janvier 1922, et fit adopter, ce jour-là, un vœu favorable à la liberté de choix politique pour les fonctionnaires.
Garnier était assesseur d’une réunion publique de la SFIO en octobre 1929 au Fémina.
Garnier Henri, capitaine de frégate en retraite, militant du MRP, candidat aux élections municipales sur la liste de son parti, le 29 avril 1945, était à nouveau candidat aux élections municipales sur la liste formée avec la SFIO en octobre 1947. Il obtenait 14 428 voix et signes préférentiels. À nouveau candidat sur une liste analogue (« Liste d’action républicaine et socialiste »), il obtint le 8 mai 1949, 9 532 voix et signes préférentiels.
Madame Garnier-Regimbaud, professeur au collège, syndicaliste CGT, candidate sur la liste socialiste aux élections municipales, le 29 avril 1945, obtint 10 143 voix sur 60 365 inscrits. Elle fut élue au deuxième tour sur la liste « d’union patriotique républicaine antifasciste » à direction communiste, avec 31 138 voix. Elle ne se représenta pas en octobre 1947. Elle fut secrétaire des Femmes socialistes SFIO jusqu’au congrès d’août 1946.
Par Jacques Girault
SOURCES : Arch. Dép. Var, 3 Z 4.21. — Presse locale.