Période 1 lettre C

Née le 21 septembre 1903 à Paris (XVIIe arrondissement), morte le 14 juin 1975 à Nevers (Nièvre) ; résistante ; militante SFIO.

Insurgé d’avril 1848, transporté.

Né le 1er décembre 1820 à Lyon, mort à Paris le 18 mai 1891  ; avocat, journaliste  ; représentant du peuple sous la Seconde République  ; socialiste.

Né en 1808 à Tauriac, près de Figeac (Lot) ; agriculteur puis employé du chemin de fer à Ivry-sur-Seine (Seine, Val-de-Marne) ; quarante-huitard.

Né le 15 mai 1825 à Charenton (Seine) ; menuisier arrêté en 1852.

Modeleur à Paris, chef d’une société secrète sans nom, qui se réunissait fin 1857 à Paris et Bicêtre (aujourd’hui Le Kremlin-Bicêtre, Val-de-Marne).

Né le 2 janvier 1817 au Grand Lemps (Isère), mort le 1er avril 1890 à Montrouge (Hauts-de-Seine) ; instituteur et créateur du Géorama de Monsouris.

Ouvrier de Villeneuve-Saint-Georges (Seine-et-Oise, Val-de-Marne).

Né le 8 octobre 1802 à Vriange (Jura), mort le 17 août 1863 à Rochefort-sur-Nenon (Jura) ; propriétaire à Rochefort-sur-Nenon ; socialiste réfugié à Jersey suite au coup d’État du 2 décembre 1851.

Né le 12 février 1817 à Rochechouart (Haute-Vienne) ; charpentier à Saint-Mathieu (Haute-Vienne) ; marié avec trois enfants ; opposant au coup d’État du 2 décembre 1851, il fut expulsé et se réfugia à Jersey.

Né le 4 avril 1808 à Étampes (Seine-et-Oise, actuellement Essonne), mort le 7 octobre 1866 à Torfou (Essonne) ; marié avec 4 enfants ; chimiste ou négociant à Orléans (Loiret), opposant au coup d’État du 2 décembre 1851, il se réfugia à Jersey.

Né le 12 octobre 1812à Brest (Finistère), mort le 26 novembre 1881 à Brest ; agent de change à Brest, membre du groupe phalanstérien finistérien.

Né le 12 nivôse an VIII (2 janvier 1800) à Brest (Finistère), mort à une date inconnue ; agriculteur ; fouriériste dissident, participant à l’expérience phalanstérienne de Cîteaux.

Né le 2 thermidor an II (20 juillet 1794) à Lambézellec (Finistère), mort le 11 juin 1875, Brest (Finistère) ; marchand tapissier ; militant associatif, créa l’Association de bienfai-sance mutuelle, première association mutualiste brestoise, en 1845.

Né le 14 pluviôse an VIII (3 février 1800) à Montpellier (Hérault), mort le 30 mai 1852 à Brest (Finistère) ; médecin ; coopérateur.

Né le 1er juin 1804 à Douarnenez (Finistère), mort le 25 août 1864 à Fontenay-le-Comte (Vendée)  ; chirurgien de marine, propagateur de la méthode d’enseignement musicale chiffrée, dite méthode Galin-Paris-Chevé. Professeur de musique vocale des écoles impériales. Animateur du journal La Réforme musicale et des chorales du choral-Chevé. Fouriériste.

Tonnelier ; insurgé ou témoin de Juin 1848.

Insurgé de juin 1848.à Paris.

Insurgé de juin 1848 à Paris..

Insurgé de juin 1848 à Paris..

Insurgé de juin 1848 à Paris.

Né le 26 novembre 1790 à Caen (Calvados) ; peintre ; opposant à Napoléon III ; réfugié à Jersey, dans la communauté des proscrits animée par Victor Hugo.

Ébeniste à Paris ; insurgé de juin 1848, condamné par contumace aux travaux forcés.

Né vers 1823 dans le Pas-de-Calais, mort le 12 juin 1854 à Saint-Hélier (île de Jersey) ; rentier à Saint-Omer (Pas-de-Calais) ; socialiste, opposant au coup d’état du 2 décembre 1851, il se réfugia à Jersey où il devint proche de Victor Hugo.

Né le 27 février 1824 à Gan (Pyrénées-Atlantiques), mort le 16 avril 1857 à Gan ; sous lieutenant puis conducteur de travaux dans les chemins de fer ; opposant au coup d’État du 2 décembre 1851, il fut déporté en Algérie.

Née le 4 juin 1842 à Rébénacq (Pyrénées-Atlantiques), morte le 3 février 1923 à Limeil-Brévannes (Val-de-Marne) ; confectionneuse, cafetière, marchande de vin, coquetière ; épouse du communard fouriériste Fortuné Henry, mère des anarchistes Fortuné Henry fils et Émile Henry.

Né le 13 janvier 1830 à Limoux (Aude), mort à Limoux le 17 mars 1881 ; banquier et juge au tribunal de commerce ; sympathisant des fouriéristes ; conseiller municipal républicain de Limoux ; défenseur du communard Émile Digeon ; père du député radical socialiste Armand Clarou.

Tailleur ; quarante-huitard de tendance démocrate socialiste.

Ciseleur ; quarante-huitard de tendance démocrate socialiste.

Ouvrier estampeur ; quarante-huitard de tendance démocrate socialiste.

Ouvrier ébéniste ; quarante-huitard de tendance démocrate socialiste.

Née le 27 messidor an 7 (15 juillet 1798) à Paris, quartier Sainte-Marguerite (XIe arr.) et morte le 14 octobre 1883 à Paris (XXe arr.), fouriériste.

Peintre en bâtiments ; opposant à Louis-Philippe.

Cuisinier ; opposant à Louis-Philippe

Insurgé de juin 1848

Menuisier ; membre à Paris d’une société secrète en 1850.

Né le 7 août 1819 à Les Cabannes (Ariège), mort à Paris (IVe arr.) le 30 décembre 1880, comptable, éditeur d’une chanson patriotique, communard souvent confondu avec Fortuné Henry.

Opposant au coup d’État de décembre 1851 dans la Nièvre.

Opposant du Loiret au coup d’État de 1851.

Concierge à Paris, auteur et diffuseur d’un placard séditieux sous le IIIe Empire.

Agitateur sous la Restauration.

Décoré de Juillet (1830).

Né à Amiens le 5 mars 1812 ; insurgé des 5 et 6 juin 1832, polytechnicien.

Poétesse ouvrière.

Louis Cassonnet, cordonnier à Issoudun (Indre), né en 1807 ; marié en 1836 à Anne Dérouet, quatre enfants. Condamnés l’un et l’autre pour activités « subversives » pendant la seconde République. Louis fut arrêté à la suite du coup d’Etat de 1851 et interné.

Militant démocrate au Blanc (Indre) ; condamné en janvier 1852.

Né en 1815 à Paris ; peintre en bâtiment à Issoudun (Indre) lors du coup d’Etat du 4 décembre 1851.

Né en 1804 à Clugnat (Creuse), mort en 1878 à Argenton-sur-Creuse (Indre). Avoué puis avocat. Républicain-démocrate-socialiste à Argenton s/c dès le début de la Seconde République (1848), nommé Procureur de la République, élu conseiller municipal à Argenton s/c à l’été 1848, adjoint au maire révoqué par le préfet en décembre 1850. Exilé volontaire suite au Coup d’Etat du 2 décembre 1851, condamné par contumace à la déportation. Installé à Chambéry (Savoie) de 1851 à 1878, revenu à Argenton s/c "quelques mois" avant sa mort en décembre 1878.

Militant démocrate au Blanc (Indre), interpelé suite au coup d’Etat de Louis Napoléon Bonaparte le 2 décembre 1851.

Militant démocrate au Blanc (Indre), né vers 1802, victime de la répression suite au coup d’Etat du 2 décembre 1851.

Sabotier et vigneron à Issoudun (Indre), né vers 1801 ; victime des suites du coup d’Etat de 1851.

Né en 1829 ou 1830 ; cordonnier à Issoudun (Indre) ; condamné en 1849 et 1852 ; exilé à Londres.

Ouvrier charpentier, né en 1816 à Lure (Lot-et-Garonne), militant démocrate à Argenton-sur-Creuse (Indre). Victime de la répression suite au coup d’État de Louis Napoléon Bonaparte en décembre 1851.

Né le 17 août 1814 à Châteauroux (Indre), mort le 19 décembre 1860 à Constantine (Algérie) ; militant démocrate socialiste de l’Indre, victime de la répression à la suite du coup d’État de Louis Bonaparte.

Né à Issoudun (Indre) en septembre 1820, décédé vers 1890 à Méréville (Seine-et-Oise, Essonne). Relieur et Libraire à Issoudun, marié à Issoudun en 1844 avec Jeanne Froment (1825-1888) avec qui il eut trois enfants. Militant démocrate-socialiste dès les débuts de la Seconde République en 1848, inculpé en 1849 et condamné en 1851, ami de Félix Pyat, il s’exila à Londres. En 1868, dix ans après la loi d’amnistie qui lui aurait permis de rentrer, il était toujours à Londres. De retour à Paris au début de la 3ème République, il déclarait le métier de relieur et bénéficia de la loi d’indemnisation en 1882. Décédé postérieurement au décès de sa femme en 1888.

Insurgé de juin 1848

Insurgé de juin 1848 à Paris.

Mêlé à l’insurrection de juin 1848.

Né le 1er décembre 1812 à Gallargues (Gard), mort le 13 janvier 1890 à Gallargues ; comptable ; quarante-huitard actif, insurgé de Juin, transporté ; évadé de Cayenne en 1857 ; auteur de Fuir Cayenne (Escapes from Cayenne, 1857) ; exilé aux États-Unis de 1857 à 1872.

Ex-chef d’atelier aux ponts-et-chaussées à Oran, condamné par la Cour d’Alger à vingt mois de détention en 1850.

Né vers 1814, fondeur, proche en 1856 de la société secrète « Commune révolutionnaire ».

Membre d’une société secrète en 1854, à Lyon, 26 ans, tonnelier. Détention d’armes prohibées, des poignards.

Imprimeur lithographe, socialiste.

Né vers 1821 à Paris, imprimeur.

Insurgé des 5 et 6 juin 1832 à Paris.

Insurgé de Juillet 1830.

Né à Périgueux le 23 février 1758 ; commissaire délégué par la Convention pour les Iles du Vent en 1793, mort de la fièvre jaune à Pointe-à-Pitre après avoir participé aux combats.

Né le 17 prairial an II (5 juin 1794) à Notre-Dame-de-Bondeville (Seine-Inférieure, Seine-Maritime) ; ouvrier de filature ; membre de la coalition des fileurs des vallées du Cailly et de l’Austreberthe en 1825.

Né le le 15 ventôse an IX (6 mars 1801) à Déville-lès-Rouen (Seine-inférieure, Seine-Maritime) ; ouvrier teinturier à Rouen (Seine-inférieure, Seine-Maritime) ; condamné pour résistance avec violence et voie de fait envers la garde nationale en 1830

Né le 1er mai 1828 à Lille (Nord). Compositeur typographe, militant syndical, socialiste.

Né à Arbigny-sous-Varennes (Haute-Marne) le 23 décembre 1808, mort à Paris le 27 février 1891. Un des fondateurs de L’Atelier (1840). Vice-président de l’Assemblée constituante en 1848. Membre, selon Fribourg, de l’Internationale.

Né le 2e jour complémentaire An 5 (18 septembre 1797) à Saint Laurent en Caux (Seine-inférieure) ; fileur ; ouvrier de filature à Pavilly (Seine-Inférieure) en 1825 dans la filature de M. Lasne ; mêlé aux grèves de 1825 dans les vallées de l’Austreberthe et du Cailly, visant à obtenir des ajustements de salaire ; condamné pour délit de coalition ; fileur à Pavilly jusqu’en 1830, puis cafetier à Pavilly.

Né le 24 décembre 1784 à Notre-Dame-de-Bondeville (Seine-Inférieure, Seine-Maritime), mort le 2 mars 1851 à Notre-Dame-de-Bondeville ; ouvrier de filature à Notre-Dame-de-Bondeville, dans la filature de MM. Darpentigny et Desbarres ; mêlé aux grèves de 1825 dans les vallées de l’Austreberthe et du Cailly, visant à obtenir des ajustements de salaire ; condamné pour délit de coalition.

Né le 11 février 1808 à Crissé (Sarthe), mort le 6 août 1879 à Crissé ; tisserand puis instituteur dans l’Orne et la Sarthe ; révoqué par le préfet de la Sarthe le 9 février 1850.

Né le 9 janvier 1795 à Gannat (Allier), mort en 1857 ; fondateur et primat de l’Église française de tendance républicaine et socialiste ; quarante-huitard.

Né le 10 avril 1818 à Gentilly (Seine, Val-de-Marne) ; ouvrier ferblantier-lampiste ; quarante-huitard ; adhérent de l’AIT ; communard.

Mort en prison ; ouvrier serrurier mécanicien à Paris ; participant à un attentat contre Louis-Philippe.

Né vers 1794 à Nantes (Loire-Inférieure). Relieur. Républicain, membre de sociétés républicaines ou secrètes, puis communiste. Quarante-huitard.

Né à Saint-Romain-de-Couzon (près de Couzon, Rhône) ; apprêteur de drap.

Voyageur de commerce à Paris , coprésident du Club des Montagnards de Belleville en 1848.

Né le 30 décembre 1817 à Treignac (Corrèze), mort en décembre 1864 à Paris, un des disciples les plus dévoués de Pierre Leroux.

Ouvrier charpentier de Seine-Inférieure [Seine-Maritime].

Né à Saint-Dié le 13 janvier 1801. Disciple de Mathieu d’Épinal, ardent républicain communiste de la monarchie de Juillet.

Tailleur de pierre ou maçon des Deux-Sèvres.

Républicain ou socialiste ; prisonnier à Sainte-Pélagie.

Né à Valence (Drôme) le 13 septembre 1808, mort à Nice le 26 novembre 1883. Révolutionnaire dauphinois, rallié par la suite à l’empire.

Né à Saint-Pol-sur-Ternoise (Pas-de-Calais) vers 1805. Pharmacien démocrate socialiste d’Amiens sous la Seconde République et sous l’Empire. Il joua un rôle très important, que les archives judiciaires tendent peut-être néanmoins à amplifier.

Né à Montmédy (Meuse) en 1789 ; ouvrier bottier, peut-être manufacturier.

Né en 1815 ; ouvrier corroyeur à Marseille (Bouches-du-Rhône) ; mutuelliste.

Né en 1824 à Sommières (Gard) ; instituteur à Sommières. Principal chef du « parti anarchiste » du canton de Sommières.

Ouvrier chargeur sur le port du Havre (Seine-Inférieure, Seine-Maritime).

Ouvrier couvreur de Seine-Inférieure [Seine-Maritime].

Né le 3 avril 1806 à Limoges (Haute-Vienne), mort le 28 novembre 1879 au château de Montplaisir, près de Lodève (Hérault). Saint-simonien.

Né en 1796 à Saint-Germain-de-Calberte (Lozère) ; instituteur ; socialiste ; dirigeant à Alès (Gard) du cercle démocratique ; déporté en Algérie.

Né à Comps (Var) le 24 décembre 1821, mort à Sorgues (Vaucluse) le 5 janvier 1893 ; cordier, compagnon du Devoir du Tour de France, auteur de chansons.

Ouvrier fileur de Troyes (Aube).

Typographe ; militant syndical ; communiste ; orateur lors du Premier Banquet communiste de Belleville en 1840.

Né le 21 février 1808 à Lorient, tué en duel en 1852 à Londres. Représentant de Saône-et-Loire en 1850-1851. Montagnard. Un des artisans de la résistance armée au coup d’État du 2 décembre 1851.

Né en 1815 à Dorangt (Aisne) ; tisseur de châles ; insurgé de juin 1848 ; il participa en 1865 à la création d’une coopérative ouvrière d’approvisionnement puis fut l’un des fondateurs de l’Économie ouvrière basée sur les mêmes principes. Il milita en faveur de la constitution d’ un parti coopératiste.

Né près de Langres (Haute-Marne) en 1810, mort à Paris le 7 octobre 1877. Journaliste et écrivain. Une des figures marquantes du clergé gagné au catholicisme social sous la Seconde République.

Né et mort à Paris (26 avril 1806, 13 septembre 1870)  ; chansonnier.

Né le 17 novembre 1803 à Paris. Corroyeur, puis ouvrier imprimeur, puis marchand de vin. Insurgé des 5 et 6 juin 1832, délégué ouvrier et membre d’une société de secours mutuel pendant la Seconde République.

Communiste sympathisant des théories d’Étienne Cabet.

Né à Paris en 1813, mort à Paris le 17 avril 1875. Socialiste chrétien.

Né en 1804 à Paris, mort en 1881 ; logeur en garni ; républicain ; insurgé des 5 et 6 juin 1832.

Journalier du commerce ; initiateur d’une pétition en 1848.

Militant socialiste de la Creuse.

Membre de la Société des Droits de l’Homme à Lyon (Rhône)

Né vers 1806 dans le Nièvre, maître cordonnier à Paris au début de la monarchie de Juillet ; co-fondateur de la « Société des ouvriers cordonniers » ; co-rédacteur d’un « réglement de la corporation des ouvriers cordonniers » visiblement influencé par l’ organisation de la Société des Droits de l’Homme.

Né à Altkirch (Haut-Rhin) le 1er avril 1818, mort à Londres le 11 mars 1885, démocrate socialiste.

Mineur à Rive-de-Gier(Loire) ; participant et peut-être meneur d’une grêve des ouvriers mineurs ayant pour revendication une augmentation de salaire.

Armurier à Saint-Étienne (Loire) ; hébergeait chez lui une société populaire interdite ; quarante-huitard ; emprisonné.

Charpentier.

Né en 1816. Serrurier parisien ; révolutionnaire parisien en 1847-1848 ; agent secret de la police.

Né vers 1810 à Bourgeon (Isère), Papetier.

Né le 27 Thermidor an VI à Saint-Julien de Toursac (Cantal), mort le 20 février 1848 à l’hôpital maritime de Brest (Finistère) ; marchand de vin.

Journalier au port de commerce du Havre (Seine-Inférieure, Seine-Maritime).

Né vers 1811à Perpignan (Pyrénées-Orientales) ; tailleur de pierre ; insurgé de 1851.

Né le 25 août 1809 à Montélimar (Drôme), mort à Aubenas (Ardèche) le 14 janvier 1879. Maître imprimeur à Aubenas, républicain.

Né en 1806 ; marchand de planches à Langres (Haute-Marne) ; chef d’un groupe socialiste ; emprisonné.

Né en 1830 ; charpentier ; animateur d’une grève à Lyon (Rhône) en 1851.

Né le 30 juin 1826 à Thouars (Deux-Sèvres) ; coutelier-armurier ; "Marianneux".

Marchand de vins ; président du comité de la Société populaire à Saint-Étienne (Loire) ; conseiller municipal de Saint-Étienne.

Ouvrier mégissier à Annonay (Ardèche) ; dirigeant d’une société secrète.

Président de l’Union sociale pour le placement des vins et des eaux-de-vie.

Ouvrier chargeur au Havre (Seine-Inférieure, Seine-Maritime).

Marchand épicier à Ernemont-sur-Buchy (Seine-Inférieure, Seine-Maritime).

Né le 13 septembre 1818 à Ladaux (Gironde), mort le 25 août 1902 à Cauterets (Hautes-Pyrénées) ; avocat républicain à la Réole (Gironde), proscrit réfugié à Guernesey, Jersey et en Espagne suite au coup d’État du 2 décembre 1851 ; républicain modéré, député puis sénateur de la Gironde sous la IIIe République.

Né le 13 avril 1794 à Mèze (Hérault), mort à Lunas (Hérault) le 23 janvier 1886 ; avocat démocrate ; député de Montpellier de 1831 à 1842 : représentant de l’Hérault en 1848 et 1849.

Né vers 1807 à Pignan (Var). Serrurier mécanicien.

Né en 1804 à Bourg-en-Bresse (Ain), mort le 30 avril 1876 à Nice (Alpes-Maritimes). Avocat. Publiciste communiste. Représentant du peuple sous la Seconde République.

Né vers 1818 à Lyon ; mécanicien ; membre du « Comité central des Droits de L’Homme et du Citoyen » ainsi que du « Comité démocrate-socialiste ».

Néo-babouviste de Lyon (Rhône).

Né à Courchaton (Haute-Saône) vers 1807. Juge de paix à Saint-Jean-de-Losne (Côte-d’Or)

Né le 18 juin 1812 à Castelnaudary (Aude), mort le 22 avril 1848 à Damas (Syrie). Explorateur, diplomate. Saint-simonien.

Coopérateur de Lyon (Rhône).

Né en 1809 à Castres (Tarn), mort en 1873 à Castres ; saint-simonien.

Né le 25 septembre 1823 à Montpellier (Hérault), mort le 6 octobre 1877 à Paris (VIIIe arr.) ; négociant , proscrit suite au coup d’État du 2 décembre 1851 réfugié à Jersey ; député de l’Hérault sous la IIIe République.

Gabriel, né le 7 août 1818 à Lyon (Rhône) et mort le 22 mai 1879 à Paris ; Jean, né en le 26 juillet 1816 à Lyon (Rhône), mort le 23 septembre 1883 à Marseille (Bouches-du-Rhône). Ouvriers bonnetiers, puis libraires à Lyon et Paris, marchands d’autographes, publicistes, communistes matérialistes, créateurs, entre autres, de L’Humanitaire.

Militant socialiste de la Loire ; déporté.

Né le 5 septembre 1796 à Rouen (Seine-Inférieure), mort le 17 mai 1860 à Paris (XVIIe arr.) ; fabricant de produits chimiques et homme de lettres parisien ; membre de sociétés républicaines, quarante-huitard ; opposant au coup d’État du 2 décembre 1851, il fut expulsé et se réfugia à Jersey.

Né vers 1789 à Bordeaux (Gironde) ; relieur à Paris ; arrêté le 13 avril 1834 et inculpé de participation à la tentative insurrectionnelle parisienne.

Né à Alissas (Ardèche) le 13 mars 1798, mort le 12 septembre 1884. Représentant de l’Ardèche en 1849.

Menuisier ; membre d’un club ouvrier à Auxerre (Yonne).

Marchand de bois dans les Deux-Sèvres ; arrêté pour affiliation à la Marianne.

Né vers 1781, graveur d’écritures, insurgé des 5 et 6 juin 1832.

Né le 23 octobre 1806, mort le 13 octobre 1885 à Saint-Léger-de-Montbrun (Deux-Sèvres) ; cultivateur au village de Rigny ; "Marianneux".

Saint-simonienne.

Né à La Tour-du-Pin (Isère) le 4 novembre 1806, mort à La Tour-du-Pin le 13 février 1861. Représentant montagnard de l’Isère en 1848 et 1849.

Né à Orcet (Puy-de-Dôme) le 22 décembre 1755, guillotiné à Paris le 28 juillet 1794. Conventionnel montagnard. Démocrate franc-maçon, dont l’influence fut considérable sur le mouvement démocratique de la Grande Révolution, dans le Puy-de-Dôme particulièrement.

Né le 1er octobre 1796 à Châteauneuf-sur-Charente (Charente), mort après 1881 ; officier puis négociant à Paris ; proscrit suite au coup d’État du 2 décembre 1851 réfugié à Jersey puis en Angleterre où il devint tanneur.

Ferblantier du Maine-et-Loire ; considéré comme socialiste.

Ouvrier boutonnier à Paris ; condamné pour coalition.

Né vers 1809 à Riom (Puy-de-Dôme). Ouvrier typographe.

Artisan médailleur en plâtre à Lyon (Rhône).

Ouvrier bottier de Paris ; participant au Premier Banquet communiste de Belleville en 1840.

Né le 7 décembre 1826 à Donchery (Ardennes), mort le 16 août 1888 à Ardenwood Milport (Écosse) ; enseignant puis rédacteur de journaux socialistes à Paris et à Rethel ; opposant au coup d’état du 2 décembre, exilé en Belgique puis à Jersey, il fit partie, avec Victor Hugo, de ceux qui furent expulsés de l’île en 1855. Réfugié en Écosse il s’y maria et y devint un professeur de français reconnu.

Entrepreneur de travaux publics ; emprisonné pour affiliation à la Marianne.

Orfèvre démocrate à Aigueblanche (duché de Savoie).

Né vers 1813, cordonnier, puis colporteur de livres. Républicain de tendance socialiste. Membre du Comité central républicain.

Né en 1817, imprimeur sur étoffes.

Né vers 1799 ou 1801 à Chapelle-Union (Seine-et-Marne) ; coffretier, emballeur, membre de la Société des Droits de l’Homme à Paris.

Tailleur d’habits à Chalon-sur-Marne (Marne), membre de la Marianne.

Ouvrier tisseur à Roanne (Loire) ; jugé suite à une manifestation de tisseurs.

Maître-menuisier de l’Aube.

Né en 1793 à Tours (Indre-et-Loire), ouvrier drapier à Vienne (Isère).

Communiste de Paris.

Ancien négociant ; capitaine de la garde nationale à Marseille ; démocrate.

Docteur en médecine, né le 17 juillet 1813 à Vienne (Isère), mort en octobre 1894 ; conseiller général de Vienne (1870), député de Vienne (1876), sénateur de l’Isère (6 janvier 1885). Une des plus importantes figures du mouvement fouriériste et coopératif, de 1845 à 1870.

Né le 17 mars 1808 à Moulins (Allier), mort le 14 mai 1884 à Paris (VIIIe arrondissement) ; médecin ; proscrit du coup d’État de décembre 1851 ; maire de Saint-Pierre-le-Moûtier (Nièvre) ; conseiller général de Saint-Pierre-le-Moûtier (1871-1881).

Menuisier de Saint-Péray (Ardèche) ; président d’un club d’ouvriers.

Né le 19 janvier 1798 à Montpellier, mort le 5 septembre 1857 à Paris ; philosophe ; fondateur de l’école positiviste.

Cuisinier à Paris ; condamné en 1838 pour propos séditieux.

Ouvrier tailleur d’habits à Brest (Finistère).

Ouvrier menuisier à Sotteville-lès-Rouen (Seine-Inférieure, Seine-Maritime).

Né vers 1805 à Saint-Omer (Pas-de-Calais). Peintre en bâtiment. Insurgé des 5 et 6 juin 1832.

Né 22 mars 1809 à Paris, tué le 31 octobre 1830 à Oostbourg (Hollande). Membre de la Société des Amis du Peuple.

Instituteur en Seine Inférieure [Seine-Maritime].

Né vers 1805 ; peintre en bâtiment ; participe aux journées insurrectionnelles des 5 et 6 juin 1832.

Pareur en Seine-Inférieure [Seine-Maritime].

Né le 3 janvier 1785 à Ginestas (Aude). Journaliste et homme de lettres, publiciste d’inspiration républicaine et socialiste, auteur de nombreuses brochures en direction des ouvriers. Membre des sociétés républicaines. Blanquiste en 1848.

Né en 1762 à Paris ; imprimeur ; impliqué dans l’affaire des patriotes de 1816 ; condamné à la déportation.

Né en 1797 à Quissac (Gard) ; notaire à Sauve (Gard) ; acteur de l’insurrection de décembre 1851.

Signataire de l’appel des « Quatre-Vingts » en 1864.

Né vers 1806, à Aigueperse (Puy-de-Dôme), marchand de vin et cafetier à Paris. Républicain de tendance révolutionnaire. Membre de sociétés secrètes. Insurgé de mai 1839.

Né en 1799 à Poncin (Ain) ; ouvrier chapelier à Lyon (Rhône).

Né à Villefranche-de-Rouergue (Aveyron) le 26 septembre 1820, il se suicida le 14 mai 1871 en son château de Rocmary, commune de Maleville (Aveyron) ; animateur du « parti républicain » dans l’Aveyron sous la Seconde République.

Né en 1807, en Flandre, dit-on, mort le 22 août 1865 à Jouarre (Seine-et-Marne). Architecte et propriétaire foncier. Publiciste socialiste chrétien d’affinités fouriéristes.

Né vers 1801, ouvrier vernisseur parisien ; membre de la Société des Familles.

Républicaine et saint-simonienne.

Commis-négociant à Clermont-l’Hérault (Hérault), de religion israélite ; décrit par les autorités comme socialiste exalté et propagandiste actif.

Né vers 1782 à Lyon, mort à la mi-janvier 1848. Commis en librairie. De tradition jacobine, participa aux luttes ouvrières.

Participa à une réunion de révolutionnaires dans le Jura.

Né le 17 mai 1807 à Genève, mort à Paris le 27 janvier 1861. Démocrate-socialiste. Préfet de police de 1848. Animateur de la Commune révolutionnaire à Londres (1853), envoyé aux États-Unis à des fins de propagande.

Né vers 1805 à Lyon. Ouvrier en soie à Lyon.

Chef d’atelier de la soierie lyonnaise ; fondateur de la Société de surveillance et d’ indications mutuelles, organisme d’entraide professionnelle ; membre de l’état-major provisoire qui maintint l’ordre durant la révolte des canuts en 1831.

Né vers 1807 à Montbozon (Haute-Saône) ; républicain, animateur du complot des Tours de Notre-Dame, devenu communiste révolutionnaire, membre des Travailleurs égalitaires.

Né le 10 prairial an VIII (31 mai 1800) à Paris, mort le 5 mai 1845. Un des précurseurs de la République démocratique et sociale. Frère du général Louis, Eugène Cavaignac (15 octobre 1802-28 octobre 1857), qui dirigea la répression impitoyable de juin 1848. Fils d’un Conventionnel.

Né en 1798 ; chef d’atelier ; participa aux événements de novembre 1831 à Lyon (Rhône).

Ouvrier menuisier au Havre (Seine-Inférieure, Seine-Maritime).

Ouvrier républicain démocrate.

Ouvrier apprêteur de peaux à Paris.

Boulanger à Toulon (Var).

Né à Brantigny (Vosges), le 29 juin 1800 ou 1806 ; menuisier ; condamné pour avoir tenu des propos révolutionnaires.

Charpentier d’Elbeuf (Seine-Inférieure, Seine-Maritime).

Né à Rambervillers (Vosges) le 5 février 1831 ; jardinier ; emprisonné pour outrages publics envers un ministre du culte catholique.

Né en 1797 à Paris ; sculpteur ; combattant de juin 1848.

Né en 1810 à Paris, mort en 1875 à Paris. Séminariste, puis diacre, dessinateur, publiciste. Républicain, socialiste, membre de divers clubs en 1848, puis promoteur de la théosophie.

Né vers 1809, à Pontarlier (Doubs). Commis négociant, Républicain actif, quarante-huitard.

Né à Limoges (Haute-Vienne) le 18 janvier 1817, tué à Paris le 4 décembre 1851. Fils du directeur ses Contributions directes de la Haute-Vienne. Avocat, républicain et socialiste.

Né vers 1812,. Médecin. Saint-simonien.

Né à Épinal le 11 janvier 1802, il vivait toujours en 1888. Démocrate-socialiste des Vosges en 1848. Député radical du département, de 1871 à 1876.

Né le 18 mai 1808 à Pousseaux (Nièvre). Guillotiné le 30 juillet 1852.

Démocrate-socialiste des Vosges.

Né en 1812 au Vigan (Lot), mort en 1877, publiciste engagé.

Né le 17 avril 1813 à Paris, mort le 31 mars 1878 à New York (États-Unis),

Né en 1770 ; journalier à Parfondeval près Mortagne (aujourd’hui Parfondeval, Orne) ; condamné pour propos séditieux.

Cafetier au Havre (Seine-Inférieure, Seine-Maritime).

Né vers 1800. Négociant marseillais. Saint-simonien.

Ouvrier nantais.

Né le 11 mai 1807 à Sens (Yonne), mort le 27 février 1890 à Versailles (Seine-et-Oise). Journaliste vulgarisateur. Saint-simonien, républicain.

Né le 22 janvier 1812 ; cordonnier ; société secrète la Militante de Cognac.

Né en 1799, maître chapelier à Toulouse (Haute-Garonne), sous la monarchie de Juillet.

Née le 24 décembre 1815 à Lons-Le-Saunier (Jura) ; couturière, puis inspectrice de prison ; écrivain ; féministe.

Saint-simonien d’esprit républicain. Le prénom de Cazavan n’est pas connu au-delà de son initiale.

Perruquier à Candes-Saint-Martin (Indre-et-Loire) ou à Montsoreau (Maine-et-Loire) ; membre de la Marianne.

Professeur de philosophie et d’histoire au collège de Joigny (Yonne) ; républicain démocrate ; révoqué en 1849.

Condamné pour sédition à Lyon en 1817 ; emprisonné.

Né en 1814 à Vic-sur-Cère (Cantal) ; coiffeur ; fondateur d’un club à Marseille (Bouches-du-Rhône) ; emprisonné.

Né en 1815 en Savoie ; ouvrier peintre ; coopérateur de Dijon (Côte-d’Or) ; mutuelliste.

Né en 1831, papetier, condamné en 1853.

Imprimeur, militant ouvrier lyonnais.

Imprimeur.

Né à Givors le 12 mai 1806, maître menuisier dans cette ville. Il semble avoir participé aux activités des Carbonari lyonnais et avoir eu des contacts avec l’association lyonnaise des Voraces. Voir Aumont Louis*, Belle Jean-Pierre* et Barret*.

Né en 1817 à Tournus (Saône-et-Loire). Docteur en médecine. Militant démocrate-socialiste sous la deuxième République.

Né à Chartres (Eure-et-Loir) le 9 juin 1753, mort à Paris, 223, rue du Faubourg-Saint-Antoine, le 21 juin 1826. Conventionnel démocrate. Proche de Babeuf de 1795 à 1797.

Maître d’études.

Relieur.

Ouvrier serrurier à Angers (Maine-et-Loire) ; organisateur d’une grève ; emprisonné.

Né le 6 août 1801 à Clamecy (Nièvre), mort le 9 mai 1868 à Clamecy ; marié avec 4 enfants ; bourrelier à Clamecy, insurgé en décembre 1851.

Maréchal-ferrant à Paris.

>Né le 23 août 1805, mort en 1880. Ingénieur hydrographe, saint-simonien.

Couvreur en ardoises au Havre (Seine-Inférieure, Seine-Maritime).

Né le 9 juin 1807 à Chartres (Eure-et-Loir), mort le 21 janvier 1893 à Charenton-le-Pont (Val-de-Marne) ; marchand de vins-traiteur à Joinville-le-Pont (Seine, Val-de-Marne), insurgé en 1831 puis en juin 1848.

Militant démocrate socialiste parisien.

Né le 9 mars 1816 à Lorquin (Meurthe) ; clerc davoué ; secrétaire de la Société républicaine centrale ; membre de divers club parisiens.

Né vers 1815 à Chartres (Eure-et-Loir) ; cuisinier ; républicain à Paris dans les années 1834-1836.

Né vers 1856 ; babouviste ; déporté.

Propriétaire d’une importante manufacture de tissage de laine à Reims (Marne), dans le faubourg Fléchambault, sous la monarchie de Juillet.

Né le 11 février 1821 à Alais (aujourd’hui Alès, Gard) ; avocat démocrate ; chef d’une société secrète ; député, sénateur.

Imprimeur sur papier peint.

Né le 8 novembre 1810. à Épinal (Vosges) ; membre de la charbonnerie dans cette ville ; ami de Mathieu d’Épinal.

Née vers 1802 dans la région lyonnaise ; saint-simonienne ; militante de la liberté des femmes.

Imprimeur ; auteur d’une brochure hostile à la mécanisation.

Maire républicain socialiste de Vivezac (Ardèche) ; révoqué en 1851.

Boucher et cabaretier à Léré (Cher).

Communiste de Paris.

Affilié à la Marianne en Maine-et-Loire ; emprisonné.

Passementier à Belleville (Seine) ; membre de la société des voleurs matérialistes ; membre de la Jeune Montagne, filiale parisienne de la Marianne.

Né le 8 thermidor an VIII (27 juillet 1799) à Lyon. Gradué en droit, chef d’atelier en soierie, puis journaliste et administrateur de presse. Républicain avancé sous la monarchie de Juillet, proche de la Montagne.

Peintre en bâtiment à Paris.

Né le 12 janvier 1801 à Montpellier, mort le 21 avril 1851 à Paris. Député de l’opposition dynastique sous la monarchie de Juillet. Représentant républicain de la Haute-Vienne en 1848 et 1849.

Né le 13 juillet 1806 à Paris, mort le 14 juin 1884 à Paris. Avocat socialiste, à Blois (Loir-et-Cher) et à Paris. D’abord saint-simonien, puis proche des néo-babouvistes, cherchant une synthèse entre les diverses tendances révolutionnaires.

Né à Mazamet (Tarn) vers 1829. Commis négociant à Labastide-Rouairoux sous la Seconde République, célibataire, démocrate socialiste, il y joua un rôle politique important.

Tanneur à Saint-Calais (Sarthe) ; condamné.

Responsable d’une banque ; condamné pour aide aux insurgés de juin 1848 à Paris.

Né à Paris, tourneur sur ivoire.

Né vers 1810 à Paris ; garçon boucher ; insurgé des 5 et 6 juin 1832 à Paris.

Négociant à Perpignan (Pyrénées-Orientales) ; membre de la Société pour la Liberté de la Presse des Pyrénées-Orientales.

Né vers 1808. Maçon. Insurgé des 5 et 6 juin 1832.

Né en 1823 à Saint-Didier-en-Velay (Haute-Loire) ; passementier.

Né le 25 mars 1792 à Évreux (Eure), mort le 8 Avril 1872 à Alger (Algérie) ; Société des Amis du Peuple (1830).

Né le 25 avril 1807 à Toulouse (Haute-Garonne), lithographe et peintre, socialiste

Né le 10 mars 1832 à Montignac (Dordogne), mort à Paris, le 8 février 1887. Félibre, auteur de nombreux poèmes en langue d’oc, démocrate socialiste, proscrit après le coup d’État de 1851.

Né en 1797 à Genève. Juriste. Libéral, proche du saint-simonisme.

Militant du babouvisme et grand-père du relieur, membre de la Section française de l’Internationale et de la Commune, Adolphe Clémence.

Né vers 1813 ; considéré comme un républicain actif.

Ouvrier peintre à Paris ; condamné pour avoir soutenu des ouvrières en grève en 1831.

Ouvrier en porcelaine à Esternay (Marne) ; considéré comme séditieux par la préfecture.