Période 1 lettre F

Combattant des Trois Glorieuses (1830).

Armurier à Ivry (Seine ; aujourd’hui Ivry-sur-Seine, Val-de-Marne) ; arrêté pour possession d’armes.

Né le 28 septembre 1831 à Moulins (Allier), mort le 24 janvier 1866 à Paris ; cordonnier ; communiste, opposant au coup d’État du 2 décembre 1851, réfugié avec son père Antoine Fombertaux à Jersey. Frère cadet d’Eugène Fombertaux.

Né le 28 fructidor an IX (19 septembre 1801) à La Croix-sur-Gartempe (Haute-Vienne) ; aubergiste à Saint-Ouen-sur-Gartempe ou à Peyrat-de-Bellac (Haute-Vienne) ; marié avec six enfants ; expulsé pour sa résistance au coup d’État du 2 décembre 1851, il se réfugia à Jersey.

Né le 27 juillet 1825 à Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne), mort le 16 décembre 1893 à Castelsarrasin ; avocat républicain, socialiste, franc-maçon et libre penseur ; substitut du procureur de la révolution de 1848, expulsé à Jersey pour son opposition au coup d’État du 2 décembre 1851, préfet du Tarn-et-Garonne après la proclamation de la IIIe République puis maire et conseil général de Castelsarrasin.

Né le 27 février 1814 à Paris (Ve arr.), mort le 23 janvier 1854,à Lambézellec (Finistère) ; ingénieur civil, quitte Paris pour s’installer à Nantes puis à Brest ; entrepreneur ; membre de la Société des Droits de l’Homme, nommé sous-commissaire de la République en 1848 à Brest, démocrate-socialiste.

Née le 15 pluviôse an II (3 février 1794), mort le 30 mars 1877à Lorient (Morbihan) ; libraire  ; fouriétiste.

Né le 6 Messidor an XII (25 juin 1804) à Brest (Finistère), mort le 27 janvier 1879 à Brest  ; exploitant agricole et entrepreneur, puis journaliste à Brest. Ingénieur, architecte, directeur de société maritime, inventeur, phalanstérien actif dans la ville de Brest, entre 1843 et 1870.

Né le 5 novembre 1803 à Landerneau (Finistère), mort le 16 janvier 1876 à Condé-sur Vesgre, Seine-et-Oise (Yvelines)  ; agriculteur  ; saint-simonien puis fouriériste, membre de la colonie sociétaire de Cîteaux et du Ménage sociétaire de Condé-sur-Vesgre.

Né le 23 février 1809, Lorient (Morbihan), mort le 10 février 1886 à Brest (Finistère)  ; officier de marine  ; candidat aux législatives de 1848 sous l’étiquette fouriériste, soutint la création de l’ « Union agricole d’Afrique », dont il était le correspondant brestois. Ami de Jules Duval, collabora à L’Économiste français et correspondit avec les membres de l’École sociétaire. Introduisit l’homéopathie en Bretagne et fut poursuivi pour pratique illégale de la médecine.

Né le 3 juillet 1808 à Saint-Georges-sur-Cher (Loir-et-Cher), mort au même lieu le 13 septembre 1874 ; avoué au Mans (Sarthe) ; militant socialiste, il participa à une tentative d’insurrection contre le coup d’État du 2 décembre 1851. Recherché, il réussit à échapper à la police et se réfugia à Jersey où il intégra la communauté des proscrits animée par Victor Hugo.

Né le 1er mars 1825 à Ambierle (Loire), mort le 26 août 1881 à Lisbonne (Portugal) ; courtier en assurance ; opposant au coup d’État du 2 décembre 1851, déporté en Algérie ; évadé, se réfugia à Jersey auprès de Victor Hugo qui lui fit une lettre de recommandation avec laquelle il s’installa comme photographe à Porto puis à Lisbonne. Revenu en France, il participa à la défense de Paris contre les prussiens puis à la Commune, ce qui lui valut de s’exiler à nouveau au Portugal.

Né le 1er septembre 1821 à Montfaucon (Lot), mort le 16 janvier 1881 à Varredes (Seine-et-Marne) ; sapeur-pompier à Paris ; opposant au coup d’État du 2 décembre 1851 il fut déporté en Algérie puis exilé. Il se réfugia à Jersey puis Lisbonne et enfin Rio-de-Janeiro.

Ouvrier ; quarante-huitard de tendance démocrate socialiste.

Né à Montauban (Tarn-et-Garonne) le 11 mars 1801, mort en Égypte le 20 février 1835 ; chirurgien militaire, saint-simonien et franc-maçon.

Né le 20 mars 1819 à Paris ; ouvrier horloger à Paris.

Simulateur d’un attentat contre l’existence du roi en 1836, provoquant une réaction disproportionnée des autorités.

Insurgé de juin 1832.

Avocat de 43 ans en 1852, né dans le Cher, domicilié à Châteauroux (Indre) pendant la Seconde République ; condamné en 1852.

Ouvrier peintre à Issoudun (Indre) ; militant démocrate pendant la Seconde République.

Victime du coup d’Etat de 1851, domicilié au Blanc (Indre).

Avocat de 43 ans en 1852, né dans le Cher, domicilié à Châteauroux (Indre) pendant la Seconde République, condamné en 1852.

Artisan menuisier, né à Issoudun (Indre) le 11 mars 1812 ; démocrate-socialiste en 1848, condamné en 1851, exilé à Jersey et déporté en Algérie en 1858.

Mécanicien, inculpé dans l’affaire de 1853 de la Jeune Montagne.

Né le 10 février 1827 à Poitiers (Vienne), mort le 23 mai 1916 à Paris ; docteur en médecine à Paris.

Né à Paris le 8 vendémiaire an III (29 septembre 1794) et mort le 27 décembre 1869. à Paris ; blessé des 5 et 6 juin 1832, artiste peintre.

Né le 12 juin 1920 à Sotteville-lès-Rouen (Seine-Inférieure, Seine-Maritime), (Fournier-Bocquet depuis la Libération), mort le 6 août 2014 à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) ; instituteur ; résistant Front national-FTPF, lieutenant-colonel FFI, combattant de la 1ère armée française au sein du 15-1, secrétaire général de l’Association nationale des Anciens combattants de la Résistance (ANACR) de 1954 à 2014 ; militant communiste.

Révolutionnaire parisien.

Insurgé des 5 et 6 juin 1832, acquitté, ayant prétendu avoir été contraint de suivre les insurgés.

Originaire de Janailllat (Creuse), à l’époque « Bellesauve », né le 11 mars 1769 de Jean et Catherine Caillaud, soldat de l’an II, mort le 11 germinal an III à l’ambulance d’Erixen (Palatinat) ; son identité fut reprise frauduleusement pour le donner comme mort lors de l’insurrection des 5 et 6 juin 1832 à Paris et capter ses droits.

Né le 13 germinal an VI (2 avril 1798) à Rouen (Seine-Inférieure, Seine-Maritime) ; fileur dans la vallée du Cailly ; impliqué dans une coalition d’ouvriers en 1830.

Née le 20 juillet 1817 à Paris, morte le 6 mars 1914, à Paris ; fille du fouriériste Michelot ; une des dirigeantes du mouvement fouriériste, entre 1888 et 1914.

Né le 16 septembre 1809 à Saint-Venant (Pas-de-Calais), mort le 31 juillet 1881 à Ancerville (Meuse) , fonctionnaire des impôts, inventeur (qualifié selon les cas de mécanicien, ingénieur) ; membre du comité de La Démocratie pacifique entre 1843 et 1848 ; participant aux banquets fouriéristes, souscripteur de la Librairie des sciences sociales et abonné au Bulletin du mouvement social dans les années 1870.

Né le 17 novembre 1814, à Plombières-les-Bains (Vosges), mort le 28 mai 1897 à Paris (Seine) ; peintre, graveur et illustrateur ; sympathisant fouriériste sous la monarchie de Juillet ; membre du premier comité de la statue de Fourier, en 1896-1897

Né le 26 septembre 1814 à Sarrebourg (Meurthe, aujourd’hui Moselle) ; avocat, puis successivement avoué, juge suppléant et rentier ; conseiller municipal et maire de Sarrebourg ; participe aux tentatives de reconstitution de l’École sociétaire au début des années 1860.

Né le 23 février 1809 à Lorient (Morbihan), mort le 10 février 1886 à Brest (Finistère) ; officier de marine, candidat aux législatives de 1848 sous l’étiquette fouriériste ; soutient la création de l’Union agricole d’Afrique ; ami de Jules Duval, il collabore à L’Économiste français ; correspond avec les membres de l’Ecole sociétaire ; participe au courant fouriériste brestois.

Né à Aouste (Drôme), le 19 mars 1848, mort en février 1917 à Versailles (alors en Seine-et-Oise, aujourd’hui dans les Yvelines). Enseignant, puis fonctionnaire au ministère de l’Instruction publique. Poète et publiciste. Occultiste. En relation avec Victor Considerant dans les années 1880 et proche d’Alhaiza dans les décennies suivantes, il participe aux manifestations fouriéristes de la fin des années 1880 jusqu’à la Première Guerre mondiale.

Né le 13 décembre 1821 à Rouen (Seine-Inférieure, Seine-Maritime), mort à Croisset, près de Canteleu (Seine-Inférieure), le 8 mai 1880 ; écrivain.

Républicain de la section parisienne des Gravilliers à Paris, en 1793.

Né en 1784 à Toulouse (Haute-Garonne) ; ouvrier cartonnier à Paris ; révolutionnaire des années 1830-1840.

Né le 1er septembre 1809 à La Châtre (Indre), mort à Paris le 20 août 1877. Républicain et démocrate radical ; propagandiste, député et conseiller général de l’Indre.

Né en 1820, mort en avril 1849. Clerc d’avoué et de notaire, puis tailleur à Paris. Animateur de clubs républicains en 1848.

Écrivain et journaliste fouriériste de Lyon.

Née à Paris le 10 février 1795, morte à Paris le 28 décembre 1862. Chansonnière.

Né le 25 octobre 1830 (ou novembre 1820 ?) à Angers (Maine-et-Loire) ; typographe ; impliqué dans l’insurrection du 26 au 27 août 1855 de la Marianne.

Né vers 1823 à Angers (Maine-et-Loire), y demeurant ; ouvrier bonnetier ; impliqué dans l’insurrection du 26 au 27 août 1855 par la Marianne.

Né vers 1793 à Antibes. Musicien. Insurgé des 5 et 6 juin 1832.

Saint-simonien.

Né le 1er novembre 1800 à Paris, mort à Lausanne (canton de Vaud, Suisse), le 15 mars 1866. Démocrate de 1848, que l’on croyait et qui se croyait parfois socialiste.

Né à Leforest (Pas-de-Calais). Ouvrier mineur à la fosse Leforest, canton de Carvin (Pas-de-Calais). Un des animateurs du mouvement de grève des 20 et 21 avril 1857.

Graveur à Paris. Fouriériste.

Né le 16 mars 1809 à Mézières-en-Brenne (Indre), mort en 1864 à Madrid ; avoué et avocat, célibataire ; quarante-huitard, poursuivi par la Réaction, il se cacha entre 1849 et 1851 chez son amie George Sand à Nohant ; opposant au coup d’État du 2 décembre 1851, il fut libéré suite à l’intervention de l’écrivaine et expulsé à Jersey puis en Espagne.

Commissaire adjoint du Gouvernement provisoire à Besançon, en mars 1848. Républicain radical proche des aspirations du peuple jurassien.

Né vers 1801, à Pouilly (Haute-Marne). Limonadier, marchand de vin, membre de la Société des Droits de l’Homme.

Né à Besançon (Doubs) le 29 juin 1798, mort à Metz le 30 mai 1869. Saint-simonien, puis démocrate et socialiste chrétien.

Né en 1797 à Vire (Calvados), mort en 1872. Commis d’octroi puis secrétaire général du gouvernement provisoire de février 1848. Carbonaro. Républicain. Franc-maçon.

Née en 1819 à Paris ; dévideuse de soie ; insurgée de juin 1848.

Né le 21 mars 1821 à Saint-Étienne (Loire). mort le 10 janvier 1910 ; ancien magistrat et avocat ; journaliste et écrivain ; animateur du mouvement coopératif sous le Second Empire ; membre de l’Assemblée nationale de 1871.

Né en 1820 à Rodez ; imprimeur ; opposant au coup d’État du 2 décembre 1851.

Né vers 1816 à Cuers (Var), condamné dans l’affaire de l’Association des Familles.

Chef d’atelier dans la soierie, à Lyon, au début de la monarchie de Juillet et journaliste.

Né vers 1818 à Dijon (Côte d’Or). Charpentier. Républicain, membre de société secrète. Insurgé de mai 1839.

Née vers 1800. Républicaine, combattante des journées de Juillet. Saint-simonienne puis fouriériste.

Né vers 1819 à Saint-Affrique (Aveyron) ; condamné comme membre du Comité de Résistance de l’ Aveyron après le coup d’État ; arrêté après l’attentat d’Orsini, du fait de ses fréquentations républicaines à Albi ; interné en Algérie.

Né le 22 juin 1793 à Neuilly-le-Réal (Allier), mort le 21 décembre 1878 à l’Hospice de Bicêtre (Gentilly, puis Kremlin-Bicêtre, Seine, Val-de-Marne) ; cordonnier, portier, puis teneur de livres ; membre de sociétés secrètes sous la monarchie de Juillet ; communiste révolutionnaire parisien, blanquiste.

Né le 17 janvier 1821 à Moulins (Allier), mort le 13 mars 1896 à Paris ; dessinateur en étoffes, puis typographe, journaliste ; communiste révolutionnaire, militant dès l’âge de 16 ans, blanquiste.

Né le 23 janvier 1812 à Lamaids, canton de Montluçon (Allier), toujours vivant en 1889. Avocat. Républicain dès sa vie estudiantine, représentant démocrate-socialiste de l’Allier sous la Seconde République.

Né le 22 septembre 1744 à Dornes (Nièvre), guillotiné à Paris le 31 octobre 1793. Évêque constitutionnel du Calvados (avril 1791). Conventionnel lié aux Girondins. Précurseur du socialisme, d’une éloquence certaine.

Proche des « socialistes »d’Albi ; déporté en Algérie en 1858.

Né le 5 janvier 1800 (15 nivôse an VIII) à Mauzé-Thouarsais (Deux-Sèvres), mort le 10 décembre 1885 à Sainte-Verge (Deux-Sèvres) ; vigneron ; affilié à la Marianne.

Fouriériste.

Typographe ; communard ; mort en mai 1871.

Né vers 1801, garçon boulanger, il fut condamné pour sa participation à l’insurrection de juin 1832 à Paris.

Ouvrier coutelier. Représentant du Rhône à l’Assemblée législative de 1849.

Né à Chevrières (Loire) ; ouvrier layetier à Saint-Étienne.

Né le 14 décembre 1823 à Châlons-sur-Marne (Marne), mort le 13 janvier 1856, en exil, à Saint-Hélier (Jersey). Journaliste socialiste. Directeur du Bonhomme manceau, du 19 octobre 1849 au 30 mars 1850.

Né à Saint-Étienne (Loire), le 21 janvier (?) 1772, mort le 15 janvier (?) 1844 ; adjoint au maire puis agent national à Saint-Étienne sous la Convention ; concepteur d’un plan destiné à combattre le paupérisme dans sa ville professeur à la Faculté des lettres sous la Restauration.

Né vers 1809 ; marchand fruitier. Insurgé des 5 et 6 juin 1832.

Né le 19 juillet 1816 à L’Ille (Lille ?). Tailleur. Communiste icarien. Membre du bureau de la Société Fraternelle Centrale, en mars 1848, puis responsable d’une communauté au Texas .

Chef d’atelier de tissage de la soierie lyonnaise ; gérant-rédacteur de plusieurs journaux ; co-fondateur d’une coopérative de consommation ; membre de la Société des Droits de l’Homme.

Né le 23 mars 1823 à Château-Chinon (Nièvre), mort le 9 mars 1864 à La Machine (Nièvre) ; ouvrier mineur.

Né à Épinal le 5 mars 1815. Communiste d’Épinal (Vosges), disciple de Mathieu d’Épinal, il aurait été aussi en relations avec Cabet.

Né vers 1806 à Lisbonne (Portugal) ; commissionnaire en marchandises ou commis négociant.

Né le 10 avril 1814 à Champdeniers (Deux-Sèvres), mort le 29 octobre 1903 au même endroit. Militant révolutionnaire et homme politique.

Né en 1813 à Meillant (Cher), politisé pendant ses années de séjour à Paris, maire de son village d’origine en 1848, actif propagandiste socialiste, déporté en 1851.

Ouvrier cordonnier et militant révolutionnaire, né à Mauzé-sur-le-Mignon (Deux-Sèvres) le 16 mai 1811.

Né le 23 mars 1809 à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône). Ouvrier imprimeur et militant du mouvement ouvrier lyonnais.

Né à Guéret (Creuse) le 16 février 1815, mort à Guéret le 30 août 1885. Avocat à Guéret, député de la Creuse en 1848 et 1849.

Né le 7 avril 1772 à Besançon (Doubs) ; mort le 10 octobre 1837 à Paris ; fondateur de l’école sociétaire.

Né en 1756 ; soupçonné d’avoir été à la tête des émeutiers lyonnais en Juillet 1790 ; à la différence de ses coinculpés, il ne fut pas exécuté.

Cousine germaine puis épouse d’Henri Fournel ; saint-simonienne.

Né le 25 janvier 1799 à Paris, mort le 21 juillet 1876 à Blois (Loir-et-Cher). Ingénieur du corps des Mines, saint-simonien parisien.

Ouvrier tanneur à Marseille (Bouches-du-Rhône).

Né vers 1815 à Montfort (Orne) ; cuisinier à Paris.

Né en 1821 à Lasalle (Gard). Fabricant négociant à Sauve (Gard). Propagandiste démocrate socialiste.

Né le 6 juin 1802 à Reims (Marne), mort en cette ville le 16 avril 1885. Ouvrier en tissage, puis contremaître. Militant mutuelliste sous la monarchie de Juillet. Représentant du peuple sous la Seconde République.

Né le 30 avril 1813 ; jardinier ; affilié à la société secrète la Militante.

Né le 16 avril 1815 à Brive-la-Gaillarde (Corrèze), mort le 16 novembre 1896 à Brive ; maître menuisier ; victime du coup d’État du 2 décembre 1851.

Né en 1800 à Hennebont (Morbihan) ; militaire ; révolutionnaire de 1848.

Militant socialiste de Joigny (Yonne).

Médecin à Parthenay (Deux-Sèvres) ; condamné à mort en 1822.

Né le 23 novembre 1812 à Châtellerault (Vienne), mort le 1er octobre 1866 à Châtellerault ; avocat ; républicain, hostile au coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte.

Né le 24 mai 1816 à Paris ; employé ; membre de la Société des Droits de l’Homme, transporté en Algérie.

Né en 1806 à Troyes (Aube). Artiste compositeur, et musicien.

Né vers 1810 à Honfleur (Seine-Inférieure), créateur de la Société de la Liberté, de l’Ordre et du Progrès (SLOP),

Né à Paris le 26 janvier 1793, mort à Paris le 14 février 1869. Chansonnier.

Mort du choléra, le 28 juillet 1854. Journaliste et publiciste. « Le plus catholique des buchéziens. »

Né en 1806 à Ingré, près d’Orléans (Loiret) ; enseignant ; clubiste ; peut-être présent sur les barricades en Juin 1848 ; transporté à Belle-Île.

Propriétaire ou gérant de la « Librairie romantique » à Bruxelles, éditeur de l’ouvrage de Buonarroti*, Conspiration de l’égalité, dite de Babeuf, en 1828.

Ouvrier burineur à l’usine de Torteron (Cher) ; meneur d’une grêve visant à une augmentation des salaires.

Entrepreneur à Paris ; Insurgé de juin 1848 et de décembre 1851.

Né à Murato (Corse) le 13 décembre 1790, guillotiné à Paris le 19 février 1836 ; auteur d’un attentat contre Louis-Philippe.

Né le 24 juillet 1816 à Epernay (Marne), décédé le 24 février 1870, compositeur typographe puis libraire.

Typographe.

Insurgé de juin 1848.

Né le 14 juillet 1817 à Tancoigné (Maine-et-Loire), mort le 10 février 1893 à Brion (Deux-Sèvres) ; jardinier, marchand puis garde-champêtre ; affilié à la Marianne.

Professeur au lycée de Limoges ; poursuivi pour sa participation aux menées révolutionnaires survenues dans les environs de Limoges à l’annonce du coup d’État.

Né le 17 juin 1802 à Nevers (Nièvre), mort le 5 mai 1884 à Paris (IXe arrondissement) ; avocat à Nevers puis banquier ; conseiller général de la Nièvre et maire de Nevers (1852-1854).

Né vers 1812 ; tailleur de pierre ; affilié à la Marianne à Angers (Maine-et-Loire) en 1855 ; communard.

Typographe, républicain.

Imprimeur et marchand de musique sous la Révolution française et le 1er Empire.

Né le 14 février 1800 à Paris, mort le 10 mars 1884 à Moulins (Allier). Né sous le patronyme légal de Mony auquel il substitua jusqu’en 1852 celui de Flachat. Ingénieur civil et homme politique saint-simonien,.

Né vers 1823 à Montigny (Seine et Marne)  ; domestique.

Né le 15 août 1800 à Magnac-Laval (Haute-Vienne), mort le 7 janvier 1885 à Chitray (Indre). Représentant du peuple en 1848 et 1849.

Né le 25 décembre 1796 à Cambrai (Nord) ; cheminot ; on lit aussi : 25 novembre 1796 à Geurins, commune de Pugieu (Ain) ; membre d’une société secrète en 1838 ; arrêté en 1853 pour sa participation à un complot.

Né en 1807 près de Trévoux (Ain) ; insurgé de Juin 1848.

Né le 21 juillet 1804 à Fougères (Ille-et-Vilaine) ; cheminot, proche des hommes du National.

Cheminot, favorable à l’Union des Associations de travailleurs.