Par M. C.
Abonné à L’Union des travailleurs de 1909 à 1912, C. Allard envoya à ce journal plusieurs correspondances qui furent publiées. Dans une de ces contributions, il esquissait sa vision d’un avenir à la fois idyllique et bucolique.
C. Allard résidait alors à San Francisco (Californie).
Par M. C.
Source : L’Union des travailleurs, 1er septembre 1910 entre autres.