NICOT Raymond

Par Jean-Marie Gabaud

Né le 15 mai 1923 à Corbeil, devenu Corbeil-Essonnes en 1951 (Essonne), mort des suites de blessures le 21 juillet 1944 à Bellac (Haute-Vienne) ; ouvrier agricole ; résistant du maquis AS « Toulon ».

Plaque sur la sépulture de Raymond Nicot à Châteauponsac (Haute-Vienne)
Plaque sur la sépulture de Raymond Nicot à Châteauponsac (Haute-Vienne)
Crédit : Jean-Marie Gabaud

De l’Assistance Publique, pupille de la Nation, il était réfugié à Saint-Amand-Magnazeix (Haute-Vienne) et employé comme ouvrier agricole dans une ferme au lieu-dit Bonneuil.

Combattant du maquis AS « Toulon » commandé par le lieutenant Buteux alias « Cambrai » (secteur de Dompierre-les-Églises et Saint-Hilaire-la-Treille (Haute-Vienne).

Agent de liaison, il fut grièvement blessé au retour d’une mission auprès du maquis « Bayeux » de Châteauponsac. Un commerçant bijoutier « pétainiste » de cette bourgade lui tira plusieurs balles dans le dos. Il fut transporté à l’hôpital de Bellac (Haute-Vienne) où il décéda le 21 juillet 1944.,

Il est inhumé à Châteauponsac (87)

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article191402, notice NICOT Raymond par Jean-Marie Gabaud, version mise en ligne le 12 avril 2017, dernière modification le 15 avril 2021.

Par Jean-Marie Gabaud

Plaque sur la sépulture de Raymond Nicot à Châteauponsac (Haute-Vienne)
Plaque sur la sépulture de Raymond Nicot à Châteauponsac (Haute-Vienne)
Crédit : Jean-Marie Gabaud

SOURCES : Internet. — Documentation et photographies Jean-Marie Gabaud.

rebonds ?
Les rebonds proposent trois biographies choisies aléatoirement en fonction de similarités thématiques (dictionnaires), chronologiques (périodes), géographiques (département) et socioprofessionnelles.
Version imprimable