PROST Georges

Georges Prost était le fils de Louis Joseph, maçon « Mort pour la France » le 3 novembre 1914 et de Marie Armande Lecomte, manouvrière. Il fut adopté par la nation par jugement du Tribunal de Beaune le 14 novembre 1918.
Il était domicilié à Pagny-le-Château (Côte-d’Or) où il exerçait le métier d’ouvrier agricole. Il se maria le 28 août 1937 à Pagny-la-Ville (Côte-d’Or) avec Louise Galoppin.
Il entra dans la Résistance aux Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Capturé, il fut torturé puis fusillé par l’ennemi le 6 septembre 1944 au lieu-dit "La Bozotte", à Bonnencontre (Côte-d’Or) en compagnie de Marcel Grimaud.
Il est inhumé dans le cimetière communal, à Pagny-la-Ville (Côte-d’Or).
Il obtint la mention « Mort pour la France » et obtint le titre de "Déporté et interné résistant" (DIR). Il fut homologué soldat des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Son nom figure sur la stèle commémorative FFI, route de Citeaux, à Bonnencontre, sur la plaque commémorative en mémoire des pupilles de la Nation morts pour la France, au cimetière de Dijon et sur les monuments aux morts, à Pagny-la-Ville et Pagny-le-Château (Côte-d’Or). .