BAILLET Roger, Charles

Roger Baillet était le fils de Charles Aquilin, âgé de 43 ans cantonnier et de Jeanne Marie Guillemot, âgée de 40 ans, concierge, domiciliés 8 rue du Tage à Paris (XIIIe). En 1944 sa mère qui était veuve et retraitée était domiciliée 25 rue du Mont-Cenis, à Paris (XVIIIe arr.) Il était célibataire et domicilié 8 rue du Tage, à Paris (XIIIe arr.). Il exerçait le métier d’agent hospitalier à l’hôpital de la Salpétrière.
Il rejoignit la Résistance pour les combats de la Libération. Le 22 août des barricades furent érigées dans le XIIIe arr. Des combats eurent lieu du côté de la Porte d’Italie et du boulevard Kellermann. Roger Baillet fut tué à l’ennemi non loin de là, 162 Avenue d’Italie. Il fut emmené à son domicile rue du Tage où le décès fut constaté à 21 heures.
L’acte de décès fut dressé le 25 août 1944 sur la déclaration d’Adolphe Milet, 30 ans, employé domicilié 10 rue de Champagne, à Paris.
Il obtint la mention « Mort pour la France » (Avis du Secrétariat général aux Anciens combattants en date du 18 avril 1945 et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI) par mention du 28 mars 1958..
Son nom figure sur la plaque commémorative 1939-1945 de l’hôpital de la Salpétrière et sur la plaque commémorative 162 avenue d’Italie, à Paris (XIIIe arr.).