Par Pierre Baudrier
Conspirateur républicain au début de la monarchie de Juillet
Dans les mois et les quelques années consécutifs à la Révolution de 1830, qui les décevait désormais, les républicains s’illusionnèrent parfois sur le succès que pourraient connaître des tentatives d’insurrection à répétition.
La « conspiration républicaine » de décembre 1830 en a fait partie et ses membres, Guilley en particulier, durent passer en jugement, subissant des condamnations à la hauteur des chances de succès qu’ils avaient rencontrées. Il s’agissait de Jules-Théophile Sambuc*, Félix-Hubert Francfort*, absent, René-Auguste-Adolphe Audry*, Édouard Pénard*, Benjamin-Auguste Rouhier*, Pierre-Louis Chapparre*, René Gourdin, Éléonore-Godefroy Cavaignac*, Joseph-Auguste Guinard*, Charles-Édouard Chauvin, Guilley, Pécheux-d’Herbinville*, absent, Ulysse Trélat*, Jean-François Danton* et Gaspard-Yves Lenoble.
Par Pierre Baudrier
SOURCE : Marie de Saint-Georges, Alexandre-Pierre-Thomas-Amable, Conspiration républicaine, Plaidoirie de Me Marie pour Pénard, Paris, Impr. d’Hippolyte Tilliard, 1831, 16 p.