Perruquier à Brive (Corrèze), François Belhomme a été arrêté le 14 décembre 1851 et détenu pendant quinze jours. Sa situation de perruquier a été compromise durant de longues années. La commission départementale chargée de statuer sur les victimes de 1851, considérant qu’il avait éprouvé un réel préjudice, a proposé le 23 janvier 1882, d’allouer à sa veuve, Îgée de 68 ans, une pension viagère de 300 F.
SOURCES : Arch. Dép. Corrèze, série M. — Note de G. Beaubatie.