C’est le seul ouvrier vosgien dont on peut être sûr qu’il ait été compagnon. Le compagnonnage n’a laissé aucune trace dans les Vosges, encore qu’on trouve des emblèmes compagnonniques sur certains monuments et des signatures compagnonniques sur des actes notariés du XVIIe siècle. Sa canne de jonc de compagnon cordonnier bottier du Devoir a été exposée au musée national des Arts et Traditions populaires à l’occasion du bimillénaire de Paris (n° 178 du catalogue dressé par M. Lecotté.) Les initiales doivent être lues sans doute « Le-Maître-de-Toute-Vertu » (?)