Il avait été affilié à la Marianne alors qu’il habitait Bordeaux. Soldat au 63e régiment de ligne au fort d’Ivry, il était chargé de recruter dans l’armée. À la fin de l’année 1854, il obtint son congé, pour aller travailler comme mécanicien-ajusteur à l’usine d’Indret (Loire-Inférieure). La Marianne le chargea de prendre contact avec les affiliés de la région de Nantes. Lors du procès de l’organisation devant la 6e chambre correctionnelle de Paris, il fut condamné à un an de prison et 100 francs d’amende. Voir les Marianneux de la Loire-Inférieure : Basile Louis*, Couilleaux Gabriel*, Couilleaux Jean*, David*, Dejoie*, Guépin Ange*, Mangin père*, Mangin Victor*, Masselin Amédée, Rocher Michel*, Rousseau François*, Salmon*.
Voir pour la Société Fraternelle : Boissel*.
Voir pour la Marianne parisienne : Ramade Isidore*.
SOURCE : Arch. Nat., BB 30/413, P. 1246.