Tisseur de la Croix-Rousse à Lyon, il appartenait à la Société coopérative et de prévoyance des tisseurs sous le Second Empire.
Homme d’action, violent, au langage provocant, il aurait été assez suspect à ses camarades.
En 1850, il était signalé comme affilié à la société secrète lyonnaise des Voraces. Voir Aumont Louis* et Barret*.
SOURCES : Arch. Nat., BB 18/1473. — La Coopération lyonnaise jugée par l’ex-police impériale..., Lyon, 1870, in-8°, Bibl. Nat., Lb 57/207.