Ouvrier allemand à Colmar (Haut-Rhin) en 1847. Auteur de poésies socialistes en langue allemande. Sans travail et sans ressources au moment du banquet fouriériste de Colmar (19 août 1847), il y récita L’apparition de Fourier, de Festeau, dans une traduction allemande qui était probablement de lui. Il porta un toast « au grand homme qui a cherché et trouvé dans la nature la loi éternelle de la vérité et de la justice ». Voir Jaenger Pierre*
SOURCE : Mme Kahan-Rabecq, « La propagande fouriériste en Alsace », Alsace française, 1938, p. 4, note 23, qui renvoie au Glaneur du Haut-Rhin et à Démocratie pacifique.)