Commissionnaire à Paris, mis en cause au cours de l’attentat du 28 juillet 1835 (affaire Fieschi), François Ador fut mis en liberté par non-lieu à suivre prononcé avant l’ouverture des débats.
SOURCE : Cour des Pairs. Procès politiques, 1830-1835, Inventaire dressé par J. Charon-Bordas, Paris, Archives Nationales, 1983. CC 677 d 8 n° 22.