Né vers 1796 à Montagnac, qui doit être l’un des deux Montagnac de Lot-et-Garonne, soit Montagnac-sur-Auvignon, soit Montagnac-sur-Lède. Huissier à Toulouse (Haute-Garonne). Vénérable de la Loge des Vrais Amis qui faisait en 1834 de la propagande révolutionnaire, dans le sens des carbonari de Toulouse, il fut condamné par le tribunal correctionnel pour proclamation « séditieuse ».
En 1852, il était présenté par la police comme un homme de peu de consistance.
Pour le carbonarisme à Toulouse, voir Gasc*, Jollibert dit Marat*, Juliot*.
SOURCE : Arch. Dép. Haute-Garonne, 4 M 51 et 4 M 76.