Par Michel Cordillot
Membre ou sympathisant de l’AIT demeurant à New York, J. Bergeron versa fin 1872 son obole à la souscription lancée par les Internationaux au bénéfice des veuves et des orphelins des combattants de la Commune de Paris.
Par Michel Cordillot
SOURCE : Le Socialiste, 29 décembre 1872.