Par Michel Cordillot
Vivant à Paterson (New Jersey), Pauline Lambotte avait été avec son mari une lectrice assidue de La Tribune libre. Elle ne découvrit l’existence de L’Union des travailleurs qu’en mai 1913. Elle s’abonna aussitôt, versa son écot à la souscription permanente ouverte par le journal, et promit de placer d’autres abonnements dans son entourage. Dans la lettre qui acompagnait son renouvellement et sa souscription de 1 dollar l’année suivante, elle disait se sentir très isolée dans la mesure où il n’existait pas de section francophone du PSA à Paterson.
Par Michel Cordillot
SOURCE : L’Union des travailleurs, 12 mai 1913, 21 mai, 28 mai 1914.