Photographe à l’Humanité, mort en 1954 des conséquences de la manifestation communiste contre la venue du général Ridgway, en mai 1952.
Militant communiste, photographe à l’Humanité, André Dewerpe mourut en 1954 d’une commotion cérébrale, consécutive à un violent matraquage par la police, deux ans plus tôt, au cours de la manifestation communiste contre la venue du général Ridgway, en mai 1952.
Sa femme, Fanny Dewerpe, trouva elle-même la mort dans la manifestation du 8 février 1962.
Il était le frère René Dewerpe , membre des jeunesses communistes exécuté dans la région de Royan, en août 1944.
Son fils, Alain Dewerpe, né en 1952, devint un historien majeur, directeur d’études à l’EHESS.