MARMORAT René, Jean, Benoît

René Marmorat était le fils de Jean Baptiste, boulanger et de Marie Claudia Mangin, sans profession, domiciliés à Marcigny (Saône-et-Loire). Il était célibataire et entra dans la Résistance à l’armée secrète (AS) du maquis de Saint-Julien-de-Civry (Saône-et-Loire).
René Marmorat fut tué dans la nuit du 11 au 12 août 1944 suite à un accrochage sur la commune de Vendenesse-lès-Charolles au lieu dit "les Landes" avec un convoi allemand se dirigeant en renfort vers la ville de Cluny.
Il obtint la mention « Mort pour la France » sur avis du ministère des Anciens combattants en date du 2 juillet 1957.
Il y a un dossier à son nom au SHD Vincennes mais il ne figure pas de mention d’homologation aux Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Son nom figure sur le monument aux morts et la plaque commémorative 1939-1945 dans l’église à Marcigny et sur la plaque commémorative "A la mémoire des Héros de notre Maquis tués au combat pour la Libération de notre Patrie le 22 Août 1944", à Saint-Julien-de-Civry (Saône-et-Loire).
Il fut nommé parrain de la 17e promotion de l’École de gendarmerie de Dijon le 28 novembre 2019.

A compléter