En 1854, Benoist fut compromis dans l’affaire de la Jeune Montagne. Benoist avait été poursuivi parce qu’il possédait chez lui des portraits de Robespierre, de Marat et de Danton, qu’il avait découpés dans l’Histoire de la Révolution française de Thiers. Voir Ramade Isidore.
SOURCES : Gazette des tribunaux, 3 août 1854 et I. Tchernoff, Le Parti républicain au coup d’État et sous le Second Empire, Paris, Pedone, 1901, p. 239.