Condamné politique en 1822.
Bourrelier à Thouars en 1822. Comme Pierre Auger, Bigot, condamné à un an de prison sans doute pour le même motif, la conspiration du général Berton (février 1822), demeura vingt-deux mois prisonnier. Il demanda après la révolution de 1830 un secours à la Commission d’indemnisation des condamnés politiques.
SOURCE : Arch. P.Po. A a/366.