VILLIÈRE

En 1853, à Londres, il appartenait à la « Commune révolutionnaire » de Félix Pyat*, groupe qui rassemblait des hommes résolus, prêts à l’action immédiate, affichant volontiers des idées communistes et se réclamant parfois d’Auguste Blanqui*. Voir aussi Marc Caussidière*

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article38808, notice VILLIÈRE, version mise en ligne le 20 février 2009, dernière modification le 20 février 2009.

SOURCE : I. Tchernoff, Le Parti républicain au coup d’État et sous le Second Empire.

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