Né le 19 mars 1911 à L’Homme, près de Saint-Étienne (Loire) ; conducteur d’autorail à Paray-le-Monial (Saône-et-Loire) ; syndicaliste et militant communiste de la Saône-et-Loire, de la Savoie et de l’Isère.
Ferdinand Granet adhéra au Parti communiste en 1936. Réfugié à Chambéry (Savoie) en 1941, il participa au triangle de direction syndical. À la Libération, il devint secrétaire général de l’Union départementale CGT de Savoie et conserva cette fonction jusqu’en 1957. Il fut ensuite secrétaire administratif et trésorier de l’UD jusqu’au milieu des années soixante
Membre du bureau fédéral communiste de Savoie en 1953, 1954, il siégea au comité fédéral en 1956, 1957, puis à la commission fédérale de contrôle financier en 1961- 1966.
Ferdinand Granet intervint au congrès fédéral de la Fédération nationale des chemins de fer (CGT) qui eut lieu les 3 et 4 février 1944 à la Mutualité à Paris (3 février après-midi).
SOURCES : Comptes rendus des congrès fédéraux. — Comités fédéraux du PCF. — Michel Etiévent, Raymond Rochaix, un militant dans le siècle, Institut d’histoire sociale CGT-Savoie, Éditions libraire Jean-Jacques Rousseau. — Notes de Serge Lambert et de Georges Ribeill.