Né le 16 avril 1853 à Paris ; imprimeur ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Pour avoir servi la Commune de Paris, Bracq fut condamné, le 9 avril 1872, par le 15e conseil de guerre, à la déportation simple. Il arriva à Nouméa le 4 mai 1873, puis fut amnistié et ramené par le Calvados.
SOURCE : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.