Né le 13 janvier 1849 à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais) ; ferblantier ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Pour avoir servi la Commune de Paris, le 24e conseil de guerre condamna Eugène Brillard à la déportation dans une enceinte fortifiée le 30 avril 1872 ; il arriva à Nouméa le 9 février 1873. Amnistié, il fut ramené par le Calvados.
SOURCE : Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.