Né vers 1811 ; mécanicien, puis monteur de pianos ; communard.
Il avait subi une condamnation en 1866 à treize mois de prison pour coups et blessures. Du 31 mars au 30 mai 1871, il fut receveur des contributions indirectes ; on l’arrêta dans son bureau. Il dit pour sa défense : « Rien ne m’annonçait au 18 mars que le gouvernement de Versailles reviendrait à Paris ». Le tribunal correctionnel (10e chambre) le condamna à deux ans de prison le 29 juillet 1871.
SOURCE : Gazette des Tribunaux, 30 juillet 1871.