Sympathisant de la Commune de Paris
Ouvrier sellier à Paris, originaire de l’arrondissement d’Issoudun (Indre). Fin avril 1871, il vint s’installer avec sa femme à Chabris, commune de Saint-Christophe (Indre). Gentil, qui se disait capitaine de la Garde nationale fédérée, tint, dans les cafés, des propos favorables à la Commune de Paris ; il fut arrêté et transféré à Versailles.
SOURCE : Arch. Nat., C 2882, note du procureur de la République d’Issoudun, 31 juillet 1871.