LEPRINCE

Communard

Garde national au 144e bataillon fédéré, blessé et peut-être décédé des suites de ses blessures. La mairie du IIIe arr. de Paris lui attribua — ou à sa veuve ? — une pension annuelle de 600 F comme victime « de la défense des libertés communales ». À la date du 15 mai 1871, un mois de la pension avait été versé. Le 5 mai, Leprince avait reçu 25 F au titre de secours en argent aux blessés (J.O. Commune, 21 mai 1871). Voir Abadie.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article64292, notice LEPRINCE, version mise en ligne le 26 juillet 2009, dernière modification le 16 décembre 2019.
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