Né le 21 mai 1833 à Robercourt (Meuse) — Robécourt (Vosges) ? ; demeurant à Montreuil-sous-Bois (Seine) ; journalier ; communard.
Il était célibataire. Il avait subi, en 1859 et 1860, deux condamnations à six mois et à quinze jours de prison, pour vol et résistance avec violence à des agents.
Pendant le 1er Siège, il appartint à la 3e compagnie de marche du 210e bataillon de la Garde nationale et continua son service après le 18 mars 1871. Arrêté le 10 juin, il fut condamné, le 20 janvier 1872, par le 13e conseil de guerre, à huit ans de détention ; le 15 janvier 1879, il obtint remise du reste de sa peine.
SOURCE : Arch. Nat., BB 24/788. — Arch. PPo., listes d’amnistiés.