Lors du procès du « complot » intenté par le gouvernement Clemenceau contre les dirigeants du Comité de la IIIe Internationale, du Parti communiste de Raymond Péricat* et ceux de la Fédération des Soviets, Jean-Louis Thaon fut, aux côtés d’Antonio Coen*, Maurice Paz* et Henry Torrès*, l’un des avocats des leaders du Comité de la IIIe Internationale. Il avait en charge la défense de Fernand Loriot et prononça la plaidoirie en sa faveur.
En 1923, Jean-Louis Thaon appartenait au Groupe des avocats communistes de la Région parisienne.
SOURCES : La Vie ouvrière, 8 avril 1921. — L’Avant-Garde, 15 novembre 1923.