Communard
Garde national au 87e bataillon fédéré, blessé et peut-être décédé des suites de ses blessures. La mairie du IIIe arr. de Paris lui attribua (ou attribua à sa famille) une pension annuelle de 1.000 f. comme victime « de la défense des libertés communales ». À la date du 15 mai 1871, un mois de pension avait été versé. Le 1er mai, 48 f. avaient été également versés au titre de secours en argent aux blessés. Voir Abadie.
SOURCES : J. O. de la Commune, 21 mai 1871. — Les Murailles politiques françaises, Paris, Versailles, la Province, Paris, Lechevalier, 1874, t. II (18 mars 1871-28 mai 1871), , p. 540-541.