ALBUTROFF

Communard

Garde national au 87e bataillon fédéré, blessé et peut-être décédé des suites de ses blessures. La mairie du IIIe arr. de Paris lui attribua (ou attribua à sa famille) une pension annuelle de 1.000 f. comme victime « de la défense des libertés communales ». À la date du 15 mai 1871, un mois de pension avait été versé. Le 1er mai, 48 f. avaient été également versés au titre de secours en argent aux blessés. Voir Abadie.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article51081, notice ALBUTROFF , version mise en ligne le 26 juillet 2009, dernière modification le 8 septembre 2018.

SOURCES : J. O. de la Commune, 21 mai 1871. — Les Murailles politiques françaises, Paris, Versailles, la Province, Paris, Lechevalier, 1874, t. II (18 mars 1871-28 mai 1871), , p. 540-541.

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