Né le 30 septembre 1842 à Brieulles (Meuse) ; doreur sur métaux ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Il était veuf, sans enfant. Pendant le 1er Siège, il appartint au 185e bataillon de la Garde nationale et il continua son service sous la Commune de Paris ; il fut fait prisonnier le 18 mai 1871.
Le 10e conseil de guerre le condamna, le 13 avril 1872, à la déportation simple ; il arriva à Nouméa le 4 mai 1873. Il obtint la remise de sa peine le 15 janvier 1879.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/839 et H colonies 84. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.