MÉRILLON Louis, Eugène

Il était veuf, père d’un enfant. Pendant le 1er Siège, il était caporal au 212e bataillon de la Garde nationale et continua son service après le 18 mars 1871 ; dans le courant d’avril, il passa comme simple garde à la 10e compagnie sédentaire du 22e bataillon.
Arrêté le 11 juin, il fut condamné, le 28 juin 1872, par le 12e conseil de guerre, à la déportation simple, peine commuée le 18 janvier 1873, en cinq ans de détention, remise le 27 juin 1876 avec dispense de la surveillance de la police.