Né le 24 février 1848 à Paris ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie, où il mourut.
En 1871, il fut garde au 156e bataillon fédéré. Il fut condamné, le 14 mai 1872, par le 4e conseil de guerre, à la déportation simple, peine commuée en résidence obligatoire en 1877, puis finalement remise en 1879 ; mais il était mort le 2 octobre 1878 à l’hôpital militaire de Nouméa.
Il y a certainement identité avec Gustave, Jean Reischling.
SOURCE : Arch. Nat. H colonies 98.