Un militant nommé Faure siégeait au conseil de la Fédération unitaire de l’enseignement élu au congrès de Marseille (août 1930) puis Limoges (août 1931), comme représentant de la majorité fédérale. Il s’agit vraisemblablement de Maurice Faure qui soutint au congrès fédéral d’Angers (août 1935) les positions de J. Aulas sur les conditions de l’unité syndicale et le maintien de l’École émancipée comme organe de liaison des instituteurs et professeurs révolutionnaires.