GUISCO Spartaco, René [dit Spartaco]

Par Jean-Pierre Ravery

Né le 20 octobre 1911 à Precotto, quartier de Reggio, en Émilie (Italie), fusillé le 17 avril 1942 au Mont-Valérien, commune de Suresnes (Seine, Hauts-de-Seine) ; militant des Jeunesses communistes puis du Parti communiste ; combattant des Brigades internationales en Espagne ; membre de l’Organisation spéciale (OS).

Spartaco Guisco dans les Brigades internationales
Spartaco Guisco dans les Brigades internationales

Son père, mécanicien de profession et anarchiste de conviction, se réfugia en France en 1923 suite à l’accession au pouvoir de Mussolini. Sa femme et ses quatre enfants (Spartaco, Ernesta, Ereno et Ideal) le rejoignirent en 1925. La famille Guisco s’installa à Villeparisis (Seine-et-Marne). Spartaco avait été un bon élève en Italie. Mais dès son arrivée en France, il entra en apprentissage pour devenir peintre en bâtiment. Toute la famille fut naturalisée française le 14 mars 1932. Spartaco partit alors effectuer son service militaire dans un bataillon de chasseurs à pied stationné à Remiremont (Vosges). Au retour, il s’installa à Paris, dans le XIVe arrondissement.
Il adhéra en février 1934 aux Jeunesses communistes et côtoya les militants du XIVe, notamment Henri Tanguy. En 1936, il fut l’un des premiers à partir combattre dans les rangs des Brigades internationales pour défendre la République espagnole. On ne le connaissait que sous son prénom « Spartaco », au point que certains penseront ultérieurement qu’il s’agissait de son nom de famille. En 1938, il fut affecté à l’état-major de la XIVe brigade avec le grade de lieutenant. Selon la journaliste Andrée Viollis, qui relate une rencontre avec lui dans un reportage publié dans l’édition de Ce Soir du 11 novembre 1938, Spartaco Guisco avait été plusieurs fois blessé : une balle dans l’épaule à Madrid, une balle dans le poumon à Jarama, une balle dans le ventre à Segovie, et encore une dans le nez en Aragon. « Tu parles d’une cicatrice ! déclare-t-il à Andrée Viollis. Pas de danger que j’oublie l’Espagne chaque fois que je me regarderai dans la glace. » Dans son livre, son ami Roger Codou témoigne de son « courage qui confinait à la témérité ». Toujours selon Roger Codou, des frictions l’opposèrent au commissaire politique de la Brigade, Henri Tanguy, d’abord lorsque ce dernier demanda aux officiers, au nom du principe hiérarchique et de la discipline, de cesser de prendre leurs repas avec les hommes du rang. Et surtout lorsque fut condamné à mort et fusillé le commandant Delesalle, chef d’un bataillon qui avait reculé face à l’ennemi. Selon Codou, Spartaco n’était pas d’accord tandis que Tanguy avait approuvé. Après la parution du livre de Codou, Henri Rol-Tanguy a toujours démenti qu’il y ait eu une « algarade » entre Guisco et lui à ce sujet.
À son retour en France, Spartaco Guisco milita dans les rangs du PCF et devint en juin 1939 secrétaire d’une cellule du XIVe arrondissement. Mais il fut mobilisé en septembre dans un Régiment d’infanterie. Il subit des brimades comme « rouge » et ancien brigadiste, ce qui ne l’empêcha pas de se distinguer dans les combats du printemps 1940. Deux fois cité à l’ordre de son régiment, il reçut la Croix de guerre avec deux étoiles de bronze. L’un de ses frères, Ereno Guisco, fut tué le 9 juin 1940 dans les combats sur l’Aisne.
Sous les pseudonymes de « Remy » et « André », Spartaco Guisco compta parmi les premiers militants à participer à la résistance armée au sein de l’Organisation spéciale (OS) créée par le Parti communiste. En octobre 1941, il fit équipe avec Marcel Paul, bientôt arrêté et remplacé par Conrado Miret-Muste et France Bloch-Sérazin. Cette dernière, chimiste à l’Identité judiciaire puis au laboratoire du Muséum d’histoire naturelle, fournit à Guisco les substances nécessaires pour confectionner des explosifs. Les corps des bombes étaient usinés par des ouvriers italiens travaillant dans les ateliers du Parc d’artillerie de Vincennes. Spartaco Guisco fit partie, avec Gilbert Brustlein et Marcel Bourdarias, du commando envoyé à Nantes (Loire-Inférieure, Loire-Atlantique) à la mi-octobre1941 par le chef de l’OS, le colonel Dumont, pour réaliser des attentats contre l’armée d’occupation. En tant qu’ancien officier des Brigades, Spartaco dirigea le groupe. À l’aube du 20 octobre 1941, ils tentèrent de faire dérailler un train de permissionnaires mais ne réussirent qu’à endommager la voie ferrée. Quelques heures plus tard, à 8 heures, ils attaquèrent deux officiers allemands qui se rendaient à la Kommandantur. Le pistolet automatique 7,65 mm de Guisco s’enraya. Brustlein, qui était armé de deux revolvers 6,35 mm, abattit le lieutenant-colonel Hotz, commandant de la place. Début 1942, la Brigade spéciale no 2 (BS2) nouvellement créée réussit à faire tomber plusieurs membres de l’OS : Pierre Tourette le 2 janvier, Louis Coquillet, Marcel Bourdarias et René Toyer le lendemain, et enfin Tony Bloncourt le 4 janvier. « Pendant un mois », lit-on dans le rapport de synthèse des Renseignements généraux « Communisme et terrorisme » du premier semestre 1942, « les inspecteurs se livrent à de patientes enquêtes dans les milieux communistes et réussissent à appréhender trois membres importants de l’organisation terroriste : Guisco, Marchandise et Tirot. »
Spartaco Guisco fut arrêté le 9 février 1942 rue de la Gaîté à Paris (XIVe arr.), avec Louis Marchandise. Il fut trouvé porteur d’un schéma représentant un système de sabotage des voies ferrées par explosifs. Il fut sévèrement frappé et finit par donner, le 10 février, un rendez-vous qu’il croyait « périmé » puisque l’heure était déjà passée. Mais les policiers, qui connaissaient les techniques de « repêchage » des clandestins, s’y rendirent tout de même le lendemain et arrêtèrent Conrado Miret-Muste. Sa liste de rendez-vous fut saisie et permit une heure plus tard l’arrestation d’un autre responsable de l’OS, Yves Kermen. France Bloch-Sérazin fut repérée à cette occasion ; elle fut bientôt retrouvée et filée pendant deux mois. Les résistants furent confrontés entre eux et manipulés par des professionnels des interrogatoires musclés qui les amenèrent à se contredire ou à se trahir.
Conrado Miret-Muste, qui finit par se suicider dans sa cellule dans la nuit du 26 au 27 février, se persuada que Spartaco Guisco était responsable de son arrestation. Entre deux interrogatoires, il s’épancha auprès d’un autre résistant communiste arrêté, que nous ne connaissons que sous son pseudonyme de « Cyprien ». Ce dernier réussit à se faire passer pour un simple trafiquant du marché noir et à se faire remettre en liberté provisoire par le juge devant lequel il avait été déféré. Il rédigea aussitôt un rapport sur ce qu’il avait vu et entendu dans les locaux des BS. Y figuraient en bonne place les accusations de Miret-Muste contre Guisco. Comble de malchance, « en février ou au tout début de mars 1942 », un autre ancien des Brigades, André Gautier, selon un récit qu’il rédigea en 1980 à l’intention de Rol-Tanguyy, crut reconnaître devant la gare Montparnasse Spartaco Guisco « serré d’assez près par 2 ou 3 gars et une voiture à proximité ». André Gautier interpréta la scène à charge. Pour lui, Spartaco s’était mis au service de la police et avait été remis en liberté « surveillée ». Le lendemain, à un rendez-vous de repêchage, il « inform[a], sans doute Jean Nennig, des faits constatés ».
L’Humanité clandestine datée du 9 mars 1942 publia en première page une mise en garde nominative. Le rédacteur commit des fautes de frappe mais les initiés firent rapidement le rapprochement avec Spartaco : « Le nommé Sfartace, ex-militant du Parti, récemment arrêté, a été libéré et fait le provocateur. Il faut se méfier de cet individu et le recevoir comme il convient. » Loin d’être libre, Spartaco Guisco fut traduit devant une cour martiale allemande avec 26 autres résistants communistes entre le 7 et le 14 avril 1942. Les survivants du procès de la Maison de la Chimie – André Kirschen et les époux Lefebvre – témoignèrent après la guerre que Guisco était seul à comparaître avec des boulets aux pieds, ce qui n’est pas précisément le signe d’un traitement de faveur ! Le juge militaire Jürgens récapitula dans son réquisitoire ce qu’il savait – ou croyait savoir – sur Guisco : « après sa démobilisation, [il] s’occupa de propagande jusqu’en juillet 1941 et entra alors dans l’OS nouvellement créée. Il agissait sous le commandement de Miret-Muste et avait pour mission de réunir des informations en vue de commettre des attentats contre des objectifs de valeur. Plus tard, Guisco fut également impliqué dans le transport de munitions et installa un dépôt dans une pièce vide qu’il louait sous le nom de Roland Roussel dans un immeuble 41 rue des Gâtines à Paris (XXe arr.).
« Guisco assurait la liaison entre le fabricant des bombes Rohregger et le chef du groupe Miret-Muste. Peu avant son arrestation, Guisco avait reçu de Marchandise via Miret-Muste la mission de mettre sur pied un nouveau groupe terroriste dans la banlieue sud de Paris. Tirot lui avait été adjoint pour ce travail comme instructeur des terroristes. Guisco n’a participé activement à aucun attentat.
« Dans la chambre louée par Guisco rue des Gâtines ont été découverts :
– 15 tuyaux en fonte de différentes tailles,
– 3 corps de bombes avec filetages et couvercles filetés,
– environ 1 000 cartouches de différents calibres,
– 2 paquets avec plaques métalliques et boulons filetés pour corps de bombes. »
Jusqu’au bout, les Allemands ignorèrent ses états de service dans les Brigades internationales ainsi que sa participation au commando de Nantes.
Condamné à mort avec 22 autres partisans, Spartaco a été fusillé avec eux au Mont-Valérien le 17 avril 1942. Son corps fut enterré au cimetière parisien d’Ivry. Début 1945, l’Union des femmes françaises demanda à la municipalité de Villeparisis qu’une rue soit baptisée du nom du martyr, ce qui fut rapidement accordé et réalisé. Après les élections municipales du printemps 1945, les 14 élus communistes de la liste d’Union républicaine antifasciste proposèrent de faire réinhumer la dépouille de Spartaco au cimetière de Villeparisis et d’inviter André Marty à venir prononcer un hommage au disparu. À cette époque, de nombreux fusillés furent ainsi ramenés « chez eux » et leur mémoire honorée à cette occasion. Le 25 juillet, Mme Guisco signa en mairie la demande d’exhumation. L’après-midi même, un résistant communiste rescapé de Mauthausen, Robert Camus, dit « Renard » pendant la clandestinité, rendit visite à la secrétaire de mairie, Rose Laporte. Lorsqu’il apprit le projet de réinhumation, il révéla à sa camarade qu’en 1942 il avait reçu de son chef l’ordre d’exécuter Spartaco Guisco s’il croisait son chemin. La situation était d’autant plus embarrassante que le frère survivant, Ideal Guisco, appartenait depuis longtemps à la section socialiste locale et avait été désigné par elle pour faire partie de la délégation du Comité d’entente.
Un rapport fut discrètement transmis à la direction du PCF. La réponse du secrétariat fut adressée à la fédération de Seine-et-Marne le 11 août 1945 : « Nous sommes informés que la municipalité de Villeparisis avait donné à une rue le nom de Guisco Spartaco. Il n’y a pas lieu de revenir sur cette appellation mais il ne faut pas mettre en vedette le nom de ce Spartaco qui est un exclu du parti. À l’avenir, il serait souhaitable que vous vous informiez sur la façon dont les camarades se sont comportés. » Le 24 octobre 1946, une délibération du conseil municipal de Villeparisis confirma l’attribution du nom de Spartaco Guisco à la rue de la commune où habitaient ses parents. Mais la réinhumation solennelle fut annulée et c’est seulement le 8 octobre 1947 que la dépouille de Spartaco Guisco fut finalement exhumée du carré des fusillés d’Ivry et ramenée à Villeparisis pour reposer dans le caveau familial.
Coup de théâtre, Henri Rol-Tanguy crut reconnaître Spartaco « le 19 mai 1947 à 10 heures à Dijon, à proximité de la station d’autobus desservant les principales localités de la Côte-d’Or ». Il en informa André Marty dans un message qui comportait quelques précisions : « il était accompagné d’une femme d’une trentaine d’années, brune légèrement corpulente, taille moyenne. Il était vêtu d’un caoutchouc droit, couleur mastic, coiffé d’un béret basque ». Le 28 mai 1947, André Marty transmit à son tour un message à Georges Beyer et Jean Chaumeil intitulé « Spartaco n’est pas mort » : « C’était donc bien un mouchard. Il devait en être de même en Espagne. Ci-joint note venant de Rol. Voulez-vous établir tous les deux un dossier pour suivre cette affaire. Nous en causerons demain quelques minutes. »
À réception, Jean Chaumeil notait qu’un dossier avait déjà été ouvert le 2 août 1945 et que « Gauthier [NDR : André Gautier, alors secrétaire de la fédération du PCF de Seine-et-Marne] a[vait] dû faire le nécessaire à Villeparisis ». Sur le dossier no 684 du service des cadres est portée la mention « donneur ». Selon Roger Codou, Rol-Tanguy lui avait déjà affirmé en 1945 que Spartaco était vivant et qu’il s’était réfugié en Espagne. Son message de 1947 à Marty accrédita la thèse d’une trahison et relança la procédure d’exclusion mémorielle.
Dans sa lettre à Rol-Tanguy datée du 24 avril 1980, André Gautier se souvient d’avoir à l’époque « discuté fermement avec la municipalité de Villeparisis » sur cette affaire. Le 15 mars 1951, une nouvelle délibération décida de transformer la rue Spartaco-Guisco en « rue des Victimes-du-Nazisme ».
Dans son livre paru en 1982, Roger Codou relate les démarches insistantes qu’il entreprit pour faire réhabiliter la mémoire de Spartaco Guisco, notamment auprès d’Henri Rol-Tanguy qui présidait alors l’Amicale des volontaires en Espagne républicaine (AVER). Codou lui communiqua entre autres la réponse que Marcel Paul lui avait faite : « Je considère Spartaco comme un pur héros. La dernière fois que je l’ai rencontré, c’était à la Santé, dans le couloir menant au parloir des avocats. Spartaco était traîné par deux SS. Je n’ai jamais vu un camarade aussi affreusement torturé, il semblait tout disloqué et j’eus le sentiment qu’il ne pourrait survivre longtemps. Il m’a longuement regardé. Je ne pense personnellement pas qu’il ait parlé. S’il en avait été autrement, je ne serais plus là aujourd’hui. [...] Si tu trouves sa tombe, fleuris-la en mon nom. » Interrogé par Rol-Tanguy, Marcel Paul lui confirma que « ce qu’écrit le camarade Codou correspond, à la forme près, à ce que je lui ai dit ».
Mais le président de l’AVER persista. En mai 1980, il écrivit au journaliste de l’Humanité Pierre Durand en se référant notamment au témoignage d’André Gautier cité plus haut : « Nous venons à l’Amicale de rassembler divers témoignages qui attestent que Spartaco, impliqué dans le procès de la Maison de la Chimie, a bel et bien "donné’’ des camarades et cela sous la torture. »
Dans son livre, Louis Oury suggère que l’animosité de Rol-Tanguy contre Guisco pourrait remonter à leur « algarade » de 1938 mais aussi à leurs divergences – qui cette fois n’avaient rien de personnel et divisaient toute la Résistance – sur la conduite de la lutte armée et ses conséquences. Selon Albert Ouzoulias en effet, Tanguy n’était pas volontaire pour l’OS et n’était pas partisan de « l’action directe ».
Quoi qu’il en soit, en 2004, les recherches conduites par Jean-Marc Berlière et Franck Liaigre dans les archives des Renseignements généraux de la préfecture de police de Paris, fer de lance de la répression anti-communiste pendant l’Occupation, sont venues confirmer que Spartaco Guisco « n’avait absolument pas failli ».
Par ailleurs, l’obstination de Roger Codou et de Louis Oury à faire réhabiliter officiellement la mémoire de Spartaco Guisco fut finalement récompensée. Le 29 août 1996, le ministère des Anciens Combattants accorda au défunt la mention « Mort pour la France », puis lui reconnut le 23 septembre 1999 la qualité de combattant volontaire de la Résistance à titre posthume. Dans un courrier à Ernesta Guisco, la sœur de Spartaco, daté du 3 février 1999, la présidente de la commission d’arbitrage du PCF, Francette Lazard, confirme « très officiellement » que « la réflexion générale du Comité national concernant les exclusions et mises à l’écart du parti s’applique évidemment à titre personnel à tous ceux qui ont eu à souffrir de pratiques que nous déclarons nulles et non avenues ». La dirigeante communiste poursuit : « Nous ne disposons pas à ce jour d’informations plus précises concernant les problèmes rencontrés par votre frère mais l’acte politique du Comité national vaut pleine reconnaissance de l’honneur dû à tous ceux qui, comme lui, se sont sacrifiés pour que vive notre idéal communiste. »
Ainsi blanchi des rumeurs calomnieuses qui l’avaient poursuivi post-mortem pendant un demi-siècle, le nom de Spartaco Guisco figure sur la plaque dévoilée le 5 mai 2001 à la Maison de la Chimie à la mémoire des 23 résistants communistes qui y furent condamnés à mort en avril 1942.
Son nom a été gravé sur une stèle à Villeparisis et sur la plaque apposée à Nantes, devant le lieu d’exécution de Karl Hotz, rue du Roi-Albert.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article49675, notice GUISCO Spartaco, René [dit Spartaco] par Jean-Pierre Ravery, version mise en ligne le 31 mars 2009, dernière modification le 30 janvier 2022.

Par Jean-Pierre Ravery

Spartaco Guisco dans les Brigades internationales
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À cheval, dans les Brigades internationales
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RGASPI

SOURCES : Arch. service des cadres du PCF consultées en 1984 par l’auteur. – Renseignements fournis par Roger Codou et Louis Oury. – Roger Codou, Le cabochard. Mémoires d’un communiste, 1925-1982, Maspero, 1982. – Gilbert Brustlein, Le chant d’amour d’un « terroriste à la retraite », Paris, 1989. – Roger Bourderon, Rol-Tanguy, Tallandier 2004. – Albert Ouzoulias, Les Bataillons de la jeunesse, Éd. Sociales, 1967. – André Rossel-Kirschen, Le procès de la Maison de la Chimie, Éd. l’Harmattan, 2002. – Jean-Marc Berlière et Franck Liaigre, Le sang des communistes, Fayard, 2004. – Documentaire de Jean-Louis Saporito et Elda Feltrin, « Un printemps 42 », 52 mn, 1984. – Louis Oury, Rue du Roi-Albert, Le Temps des Cerises, 1997. – Pia Leonetti Carena, Les Italiens du Maquis, Paris, Éd. Mondiales, 1968.

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